Le combat du furher

OOC: Ce qui suit c dans mon cerveau. Jveu po un criss de chialage de pp ok?

Himmler ne rêvait pas, il cauchemardait. Dans les horribles méandres de son esprit, il avançait dans un endroit, complètement noir, dépourvu de distinction entre les murs et le sol. Le furher cherchait en vain un point de repère. Soudainement, alors qu'il commençait à redouter de se faire agresser alors que ses armes semblaient disparues, Une table se matérialisa. Sur celle-ci, se trouvait l'équipement de Heinrich, des couteaux de lancers au magnum en passant par les munitions et les sacoches pour les contenir. Tout en s'équipant, il entendit une voix qu'il ne connaissait que trop bien:

-Alors mon petit furher, on s'habille pour une réception? Soyons sérieux, même armé de la sorte, vous n'avez aucune chance.

Alors, Zabrack se matérialisa devant lui. Himmler, sentant remonter la rage meurtrière en lui, se jeta sur son ennemi. Il le renversa assez facilement, et entreprit de mutiler son corps entier de son couteau de combat. Criant comme un possédé, hurlant de joie et d'hérésie à chaque giclée de sang qu'il recevait, il réduit l'ombrageux à une vague bouillie sanguinolente. Il s'apaisa peu à peu, laissant son couteau tomber, respirant pour refouler les sentiments de massacre qui montaient en lui. Puis, une présence se fit sentir derrière lui

-Bravo, dit Zabrak en applaudissant 2 fois, belle démonstration. Vous avez peut-être ce qu'il faut pour devenir l'un des notre.

D'instinct, Himmler se releva, se retourna d'un geste brusque qui vit voler son long manteau, dégainant son magnum du même élan, et tira directement dans la tête de la créature sombre. Le corp tomba, disparaissant d'ans l'ombre environnante. Convaincu d'en asvoir fini avec cette enflure, le furher abaissa son arme. Mais une voix à sa droite le démenti sur cette certitude.

-Allons, calmez-vous. Je veux seulement discuter.

D'une nouvelle balle, le furher élimina cette apparition. Mais que ce passait-il? D'abord cet endroit à l'aspect du néant, puis ses armes qui apparaissent de nuls par et maintenant des Zabrack en série, il ne comprenait plus rien. Une nouvelle voix, devant lui, répondit à son interrogation muette:

-Oh mais c'est très simple.

Sidéré, Himmler regarda ce nouveau clone du pire ombrageux connu apparaitre graduellement. Une nouvelle voix se fit entendre, à sa gauche.

-Moi qui vous croyait intelligent.

Une troisième, à 5 heures environ.

-Mais vous ne pouvez même pas comprendre.

Encore une, à 6 heures.

-Ce qui se passe.

Une autre, à 11 heures.

-Dans votre propre.

De nouveau à 1 heure.

-Esprit.

Deux nouvelles, à 2 et 8 heures.

-Vous ne pouvez pas comprendre

Encore 2, à 7 et 10 heures.

-Que nous ne sommes qu'un message de votre subconscient.

Puis, sans crier gare, chacun fit apparaiter une lame, et, disposés en cercle, se jetèrent sur lui d'un même geste. Himmler était mortifié, 12 Zabrack le transpercaient d'autant de lames. C'est ce moment que choisirent les répliques de son ennemis pour lancer à l'unisson:

-Qui dit, rejoins-nous!

Puis, les 12 ombrageux jumeaux se fondirent en 1 seul, qui transperçait le furher au niveau du torse. Il retira sa lame, et parti en marchant vers .l'obscurité.

-Vous savez où me trouver.

Tombant à genou, agonisant, soufrant d'une douzaines d'hémorragies, Heinrich sut que c'était la fin pour lui. Puis, Il vit une silhouette se dessiner au loin. Un homme de forte stature, Himmler s'en rendit compte. Quand il fut près de lui, il vit que c'était un véritable géant. Alors, les traits de ce mastodonte se firent plus clair.

-Hail Himmler! Oh mais, sauf votre respect, c'est quoi cette merde? Vous pourriez pas vous secouer un peu? C'est quoi, 1 ou deux petits ombrageux vous transpercent avec des épées et vous vous effondrez comme une petite lavette? Allez, vous êtes surement l'homme le plus intelligent que je connaisse, vous voyez bien que ce n'est que dans votre imagination?

Maïk l'aida à se relever. Déjà, les blessures cicatrisaient. Il regarda autour de lui, il vit que le décor se fragmentait, les parcelles de noires qui tombaient laissaient place à un blanc éblouissant.

-Allez, c'est pas tout ça, mais ils vont pas se chasser tout seuls ces pourritures d'ombrageux. Et on as besoins de vous! Et puis, laissez pas cette merde de Zabrack s'entirer comme ça. Et n'essayez pas de sombrer dans la folie pour échapper à vos responsabilités! Laissez pas ce con gagner! Allez, debout. Relevez la tête et allez buter ce fils de pute!

Puis, tout devint noir. Il se releva lentement en position assise, et ouvrit les yeux...

C'EST DU POWER PLAY OH MY FUK*** GOD!

(OOC: Non, c beau... C'est pas vraiment Zabrack... C son cerveau qui lui joue un tour... Alors ya pas de pp)

-Fürheur! Vous êtes réveillez! Enfin! On a failli vous perdre... Le district ne s'en serait jamais remis...

Le Fürheur regardait autour de lui... La salle, d'un blanc imaculé, était emplie d'instrument supposé le maintenir en vie... Quelques infirmières prenait des prises de sang et plusieurs autres tests pour vérifier que la vie du Fürheur n'était pas en danger...

-Vous avez eu de la chance que nous étions près... Sinon, le pire ce serait peut-être produit...

Maïk tempêtait à travers les couloirs pour trouver où se trouvait la chambre du Führer. Il se devait d'aller le voir s'il se trouve dans un état assez grave pour se retrouver dans cette section. Le personel se gardait de tenter de le raisoner dans son état.

*Combrattre Zabrack tout seul comme ça... Mais qu'est-ce qui t'as prit de tenter une chose pareille?!

Himmler avait mené un duel avec la mort. Il était chanceu d'y avoir survécu, mais Maïk se demandait s'il avait été infecté lui aussi. Cette éventualité l'horrifiait... Il risque déjà de perdre sa soeur et maintenant le chef de la nation toute entière? Il refusait d'y croire. Himmler avait plus de ressource que ça. Ce n'est pas quelqu'un qui se laisse avoir de la sorte!

OOC: Sorry Maik, j'ai oublié de te demander si je pouvais tutiliser dans ma tete. Tu m'en veu po jespere?

Himmler regarda aux alentours. Tout n'était que machines et murs blancs, techniciens et médecins vêtu de blanc. Alors, lentement, son combat lui revint en tête. Il enragea de s'être fait duper ainsi par cette pourriture de Zabrack. Il s'en voulut à lui-même mais surtout à cet ombrageux. Il voulait le tuer, sortir ses entrailles de son ventre. Festoyer dans ses intestins, se régaler de son coeur. Sur ces pensées sadiques, l'esprit de Heinrich se glissa vers les épisodes avec les corrompus qui eurent la maladresse d'être au mauvais endroit au mauvais moment. Et sa colère, sa frage s'accrut intérieurement, de même que sa soif de carnage. De fil en aiguille, il revit mentalement son rêve d'il y a quelque minutes, puisant de nouvelles sources de colère et de soif de sang. Alors que ce maelstrom de violence atteignait son paroxisme et semblait sur le point d'éclater, tout s'arrêta. Une image d'un homme qui l'avait déja sauvé, Maik. Non, pas Maik, pas seulement lui... La nation en entier. La nation qu'il menait, qu'il protégeait. La nation pour laquelle il s'était rendu aux portes des enfers pour combattre le mal en personne. Pour laquelle il chassait les corrompus, et maintenant les ombrageux. Il se devait de ne pas sombrer dans ce cercle de violence sans fin pour pouvoir continuer à la servir. Car, avant tout, c'était son esprit qui était au service de sa nation, et il se devait de rester clair. D'un oeil nouveau, il vit le monde qui l'entrouait. Il était parfaitement calme. Quand il vit Maik entrer, il dit:

-Bonjour Maik. Je suppose que vous venez me faire votre rapport des évènement qui ont occurés depuis votre petite escale en Italie?

Maïk se mit au garde à vous pour saluer le Führer. Il était soulager de constater qu'il était vivant et relativement bien portant. Il ne semblait avoir été infecté par les ombrageux non plus. Mais Maïk sentait que quelque chose avait changé en lui... Ses yeux et sa voix trahissaient quelque chose que le reste de son visage cachaient. Il ne pourrait pas vraiment l'expliquer, mais il le sentait bien: le Führer n'était plus vraiment me même qu'avant...

-Oui, monsieur. Je suis allé jusqu'à la défence des fous pour rencontrer un certain Docteur Dimitri. Une fois sur place, j'y ai eu mon bras réparé et amélioré si je peux dire. Mais il n'a pas fait que me soigner, il avait aussi d'importantes informations qu'il m'a transmit. Des informations concernant les ombrageux...

Le visage d'Himmler se crispa à la mention du mot "ombrageux". Maïk sortit la liste qu'il avait eu du Docteur D de sa poche et la lui tendit.

-Il s'agit d'une liste de toutes les cibles potentielles des ombrageux. Ce sont tous des scientifiques. Alicia Bielski en fait partie elle aussi, ce qui confirme ma théorie d'une attaque planifiée sur mon unité pour l'enlever et la faire passer pour morte afin que nous ne la recherchions pas. Si j'en crois ce que Dimitri disait, Zabrack et son "associé" Nicrom étaient eux aussi des scientifiques et font partie de cette liste. Je n'ai plus vraiment entendu parler de lui après qu'il m'ait donné cette liste...

Maïk laissa un peu de temps au Führer pour assimiler ces informations, puis se lissa le crane, se demandant comment il pourrait bien lui expliquer la suite.

-Juste avant de venir ici, j'ai fait une autre rencontre intéressante en fait. Il s'agissait de ma soeur Alicia...

C'était probablement la dernière chose à laquelle il s'attendait à entendre. Après tout ce temps à la chercher, elle revient comme ça sans crier gare et ce, par elle même?

-Elle... Elle est revenue et pas vraiment avec de bonnes nouvelles. Elle va bien pour l'instant, mais... Mais elle a été infecté par le gêne de l'ombrageux tout comme Karl, le soldat de la mission au Québec. Il ne lui reste plus longtemps avant que le virus n'atteigne la phase terminale et n'infecte le cerveau... Je ne sais plus vraiment quoi faire pour la protéger de ces monstres. J'ai déjà échoué une fois et j'ai tant perdu de cette façon...

-Je te l'ai déjà bien dit que je n'ai pas besoin de protection, grand-frère. Je ne suis plus une enfant. De plus, peut-être aurai-je l'air de l'un des leurs, mais soit bien certain que je ferai la peau aux ombrageux...

Alicia se tenait là, sur le rebord de la fenêtre. Elle a toujours été plutôt efficace pour déjouer la sécurité et se déplacer à sa guise un peu partout.

-Et si on écoutait ma version de l'histoire maintenant? Et je vous en prie, ne parlez pas de moi comme si j'étais déjà l'une des leurs...

Elle fit un bond pour enter dans la pièce et fit le salut au Führer à son tour avant d'aller s'asseoir sur une chaise posée là pour les visiteurs et croisa les jambes, un large sourire en coin dirigé au Führer.

OOC: Nice la réunion familiale XD. Manque juste adolf et boris XD.

Le furher ne laissa pas tranpsaraître l'étonnement que ce flot d'informations créait en lui. Lentement, il analysa le tout. De ces nouvelles inquiétantes, il ne fit que des constatations encore plus sombres. L'emprise des ombrageux semblait grandir sans qu'il ne puisse la freiner. L'organisation de Divarius continuait à emchainer victoire sur victoire, alors que la seule action d'envergure de son district n'avait pour l'instant été qu'un coup d'épée dans l'eau. Pour la première fois, le furher n'arrivait pas à devancer les coups de son ennemi suffisamment. Pour la première fois, il semblait en train de perdre, mais ce n'était pas une tactique pour leurrer son adversaire. Mais ils n'avaient pas encore joué leur pièce maitresse, Divarius, et ne semblaient pas prêts à le mettre en jeu. Tout cela devenaqit inquiétant. Mais les ombrageux n'étaient pas les seuls à posséder des pions d'envergure toujours cachés, les nazis en possédaient plusieurs eux-même. Et certaines de ces pièces étaient mille fois plus meurtrière que n'importe quel des ombrageux connus. Méditant sur les possibilités de ces armes cachées, il se retourna vers Alicia, et, apres l'avoir salué, lui répondit:

-Oh mais je n'ai pas vraiment besoin de votre version des faits. Je peux très bien reconstituer les évènement qui on suivi votre séparation de votre escouade, grâce à l'action de votre frère. Selon les informations qu'il m'a transmis, après les évènement à la 3eme porte de la vallée, vous êtes manifestement tombé entre les main des ombrageux. Connaissant la fougue et la férocité coulant dans le sang de votre famille, je ferais d'avantage confiance à ujne évasion de votre part plutôt qu'une remise en liberté. Cette hypothèse impliquerait que votre infection ombrageuse remonte à un moment plus réçent. Connaissant leur manières d'agir, ils vous ont attiré dans un guet-apens et vous ont infecté à votre insu. Et c'est alors que vous avez subtilisé une liste comme celle que Maik vient de me remettre, concernant les futurs victimes de ce mal, cette même liste dont vous vous êtes servie pour retrouver et envoyer ici les deux scientifiques étrangers qui nous sont parvenus, effrayés et désorientés, parlant sans arrêt d'une petite femme qui les auraient ammennés ici. La raison de votre présence dans cette chambe est simple. Comme le second scientifique vien à eine d'arriver selon ce rapport, vous avez dut l'escorter personnellement jusqu'ici. Vous en avez profité pour donner signe de vie à votre frère, puis vous êtes venu ici incognito pour en faire autant auprès de moi, mais officieusement?

Himmler sourit en ajoutant à la blague:

-A moins que vous ne soyez venu vous assurer que votre géant de frère ne disent pas trop de conneries?

Fej suivait le groupe et demanda à Maik un résumé précis des évènements passés...

((Parce que, sincèrement, c'est long à lire pis je comprend fuck-all rien...))

(OOC: C'est plutot simple, va sur résumé des épisodes précédents, va voir Maïk et t'aura un bon résumé. Pour ce qui est des ombrageux, Dod D a fait une liste et une description d'eux dans le bestiaire et pour ce qui est d'Alicia elle a été enlevée et infectée et va probablement devenir un ombrageux aussi et risque de perdre la mémoire pour devenir un esclave à leur service mais je les ai fuit, content? pis Himmler a pas finit son post donc je continuerai pas tout de suite IC.)

Oh et fej, techniquement tu peu po entrer dans la base sans autoriastion... surtotu po entrer dans la chamrbe d'hopital du furher, ki doit etre aussi gardée ue la maison blanche. Fak sorry, t'attend à la porte XD Pi common, fait un effort de lecture XD

Alicia ne put retenir un large sourire amusé. À peine était-elle en train de devenir un ombrageux qu'elle avait déjà un sourire qui glace un peu le sang comme celui de Zabrack.

-C'est presque ça. Plutôt bien résumé pour quelqu'un qui n'y était pourtant pas. J'ai bel et bien été infectée lors de mon emprisonnement par les ombrageux, mais il y avait quelqu'un d'autre avec moi. Le Docteur Dimitri aussi a été capturé et infecté. À l'heure qu'il est, il est lui aussi un ombrageux. Nous avions été envoyés pour supprimer une cible en échange d'un sérum contre le virus qu'ils nous ont transmit, mais nous nous sommes enfuits à la place. La cible portait le nom de Matricule 29 et je suis certaine que Maïk le connait puisqu'il est allé en mission avec lui pour me retrouver...

Maïk releva la tête en entendant cette information. Il ignorait ce qu'il était arrivé au soldat dénomé Karl quand il avait sauté de l'avion sans crier gare pour disparaitre dans la foret qui se trouvait en dessous.

-Tu l'as rencontré? Est-ce qu'il va bien?!

-Notre mission était de le tuer, mais je ne pouvais pas me résoudre à tuer un frère peu importe la situation. Nous avons donc décidé de tenter de notre côté de trouver un anti-virus. Parlant de ça, je devrai retourner à sa clinique en Transilvanie pour voir où ils en sont. Toutefois, je doute qu'ils puissent développer un sérum efficace en seulement deux jours. Ça n'aurait probablement pour effet que retarder le virus.

Alicia prit une cigarette et l'alluma. Une infirmière tenta de la dissuader en lui disant que c'était interdit, mais elle n'insista pas quand Alicia lui lancea un regard noir.

-Pour ce qui est de mon frère, que je sois ici ou ailleurs ne l'empêchera pas de faire le con... Je ne sais pas vraiment ce que je ferai une fois que je deviendrai une ombrageuse... Après tout, ça ne ferait pas très sérieu dans une escouade. Peut-être ferai-je un tour dans la prison où j'ai été enfermée pour libérer les scientifiques qu'ils essaient de briser pour qu'ils deviennent des ombrageux. En parlant de brisés, Où se trouve Karl, s'il a survécu lui aussi, j'aimerais bien pouvoir le revoir un de ces jours.

((En gros j'attend qu'on me fasse signe?))

(OOC: Manque le Doc D et se topic serait le plus épique du site... Quoiqu'il est déjà assez énorme... Continuer, c'est bien...)

((Je pourrais avoir une réponse? XD))

OOC: Bah ouais, c ki fau ke je fasse richard aussi tu sais? pi ca faisait 2 jours je faisais poiroter jin...)

-Donc, si je comprend bien, Karl est toujours en vie? C'est une bonne nouvelle. Et pour ce qui est de ton ancien camarade de ton unité, je voulais justement t'en parler. J'ai monté un projet consistant à greffer des membres mécaniques à un soldat lorsqu'il subit de trop grandes blessures pour avoir un espoir de guérison. Mais voila, cette procédure requiert un doigté et une dextérité manuelle qui est étrangère à la plupart de nos médecins. Résultat, beaucoup de nos frères qui se sont porté volontaires pour cette expérience sont mort. d'autres sont paralysés. Je sais que vous cachiez vos habiletés pour rester avec les reiningers, mais pour le bien de l'un de vos anciens coéquipier, j'aimerais que vous acceptiez, dès votre retour de transylvanie, de vous charger de cette opération, et de former les médecins pour celles qui suivront. Puis, nous verrons ce que nous ferons si vous devenez une ombrageuse.

Puis, il se tourna vers Maik, et lui dit:

-Maik, je regrette de briser vos retrouvailles mais il y a une mission que je doit vous confier. Durant notre affrontement, Zabrack m'a avoué qu'il n'était qu'une diversion pour nous éloigner de Moscou. J'en conclut donc que la capitale du district 1 est en danger. Je vous envoie là-bas avec une légion, soit 500 hommes, par hélicoptère pour aller vérifier s'il y a un problème, et les aider si problème il y a. Dès votre arrivée, je veu que vous me contactiez par radio et que vous me décriviez la situation. Je jugerai des actions nécessaires à ce moment. Vous serez le commandant de la mission. Je vous souhaite bonne chance.

Maintenant debout, il leur fit le salut nazi, et leur dit à tout les deux:

-Désolé d'abréger vos retrouvailles de famille, mais je n'ai pas le choix. Quand les choses se seront calmé, je vous donnerez chacun une permission, si vous en voulez. Après tout ce qui vous est arrivé, je croit bien que cela vous permettra de récupérer et de vous ressourcer. Et vous direz au médecin qui nous écoute maladroitement derrière la porte de bien vouloir m'envoyer ma secrétaire et de laisser entrer le jeune homme qui vient de la défense des fous.

(Bon, sael je t'attend. Pi fej, tu peu venir aussi.)

Fej fit un salut militaire aussi:''Yes! Ont va à Moscou, la capitale des meilleurs ingénieurs au monde!'' Avec style, il demanda où étaient les hélicoptères pour s'y précipiter, avec style!

-Soyez certain que je reviendrai pour prêter main forte à la bande d'incompétents qui vous servent de scientifiques dans ce cas. Ne vous faites pourtant pas d'illusions, je n'ai aucunes intentions de faire des protèses mécaniques ainsi que des greffes dans un labo jusqu'à la fin de mes jours. J'ai ma fierté moi...

Alicia se glissea hors de la chambre par la fenêtre aussi habilement qu'elle était entrée. Éviter les gardes ne sera pas plus difficile que d'enter par effraction dans la chambre où le Führer était soigné. Une fois à l'extérieur de la ville, elle ira chercher sa moto pour partir pour le village de Transilvanie pour recevoir un traitement pour le virus qui est en train de prendre emprise sur elle. Maïk et Alicia n'avaient pas vraiment besoin de se dire au revoir. Depuis tout ce temps dans la même unité, ils n'avaient plus besoin de telles formalitées entre eux.

OOC: Mais ques vous voulez ke je fasse comme écriture aec ca? XD)

-Bonjour templier. J'aurais aimé m'entretenir quelque peu avec vous, mais il est vrai que je ne peux légalement vous retenir. Vous n'avez qu'a suivre Maik, il sait très bien où vous êtes. Et non, désolé maik, ce ne sera pas Adrianna qui pilotera l'avion.

Lisant la déception sur son visage, il rit de voir le grand Maik acquérir une telle faiblesse qu'était l'amour. Mais c'était de son ressort, pas de celui de Heinrich. Sur ce, il leur donna congé.

S'installant dans son lit pour se reposer un peu, un soldat entra et l'avertit qu'un homme rescapé d'un programme de cryogénie datant de la deuxième guerre mondiale voulait le rencontrer. Il avait entendu parler d'un tel programme, mais le savait voué à l'échec. Il fut très surpris de savoir qu'un des sujets avait survécu.

-Bon, on dirait que je siuis trop en demande pour me reposer un peu. Et dire que par ma faute Dalhia sera bientot la... Bon, faites le entrer.

Maïk empoigna Fej par le col pour l'emmener avec lui. Une fois aux pistes de décollage où un hélicoptère les attendaient, il fut agréablement surpris des hommes qui les attendaient. Un grand nombre d'hélicoptères les attendaient pour les larguer directement à l'intérieur des murs de Moscou sans avoir à se poser. Une fois les hélicos partis, Maïk ne pu retenir un haut le coeur. Dans l'avion d'Adrianna, il n'y avait aucunes turbulence et il avait tout de même ressenti les effets du vol sur lui. Il ne pouvait dire s'il avait oublié ses maux dans son avion à cause du fait que les avions du district des pilotes ne font pas de telles turbulences ou bien si c'était à cause d'Adrianna... Maïk gardait un petit sac tout près de lui tout au long du voyage à Moscou. Il aurait souhaité que ses hommes ne le voient pas dans un tel état.

-Nous ne savons pas ce qui se passe réellement à Moscou, alors restez sur vos gardes. La ville a cessé les communications il y a de ça quelques heures et nous craignons le pire. Préparez-vous. Armez-vous. Récitez une prière parce que ça risque de ne pas être joli là-bas. Oh et Fej, j'ai pensé à toi aussi...

Maïk tendit à Fej une petite boite. Lorsque Fej l'ouvrit, il y trouva un fusil d'assaut M-16, arme polyvalente prévilégiée des forces d'assauts du monde entier. Il y avait en tout 6 chargeurs de 30 balles dans la boite sans compter celui qui était déjà dans l'arme. Le fusil avait une flashlight et un lance-grenade rattaché. Fej trouva également quatre grenades qui sont effectivement lancées en utilisant le lance-grenades.

(sael, vas-y) pi oui je c ke je di ca asec richard mais je men fous! Richar peut tout faire!

Fej saisit l'arme, avec style:''Oooooooooooooooh!'' S'émerveilla-t-il:''J'aurais quand même préféré un lance-flamme... ça à plus de style... ou même une épée Masamune comme Sephiroth-Père!'' Il se tut avant de recevoir une claque:''Bon, je crois que ça va faire l'affaire, en attendant que l'ont arrive, tu peut m'informer sur vos méthodes d'entré en action? C'est surement différent que dans mon district...''

La secrétaire su Fürheur entra rapidement dans la pièce et ferma la porte... Les médecins et tout le personnel étaient ailleur, car les mots du Fürheur serait classé confidentiel à partir de ce moment... En lui offrant une fleure, en signe de bon rétablisement, elle dû néanmoins passé rapidement aux informations qu'elle devait dire au Fürheur...

-J'ai deux chose à vous dire, mon cher Fürheur... La première est l'arriver de deux scientifique demandant l'assile contre les assaults des corrompus... Ils disent être envoyé par Alicia Bielski... Un d'eux aurrait une plante d'une grande importance pour toute nos recherches... Pour tout dire, les scientifiques pensent que, si des feuilles de cette plante serait mélangé à du sang d'Ombrageux, la balle pourrait devenir une maladie qui rendrait les Ombrageux humain de nouveaux...

Ne laissant pas le Fürheur parler, elle continua...

- Une autre bonne nouvelle avec votre affrontement avec Zabrack... La balle qui a touché l'Ombrageux et qui s'est figé dans son épaule... Celle-ci émet un petit signal... Très faible, bien sûr... Si ce serait dans une grande ville comme à Moscou ou bien à Paris, le signal serait imperceptible... Mais ce signal vient d'une petite île du Pacifique... Ce qui pourrait être un de leurs lieux de ravitaillement ou même leur ''hopitaux'', si ils en ont... Une petite unité est prête si vous voulez envoyé une expédition là-bas...

''Alors?'' Fit Fej qui s'impatientait avec style...

(Alors quoi? Tu est ak Maik... Attend le... )

((Je sais, c'était juste pour vous montrer que j'étais là, pas besoin de le prendre sérieux ce post! XD))