Mon Bureau (Finlay)

Suite à cette terrible conversation. Je batti en retraite dans ce repair tranquile bien à moi. Mon bureau.

Décoré de toute part, cette endroit me fait penser, à chaque fois que j'y met le pied. À ma chambre d'appartement quand j'était au collège.

Il y avait plusieurs masques de collections que j'avais dérobé au musée de Londre. Une belle tapisserie qui camouflait le bois épais qui servait de mûr. Une grande chaise , resemblant à un de ces divants confortables que l'on ne voit que dans les films. On a toujours envie de s'y assoir, à moi seul ce prévilège.

Je m'y assis tranquilement, en prenant soin de regarder et d'admirer ce décors de fantaisie, que j'était le seul à apprécier. Je fixa la porte une fois assis confortablement.

Je pris un morceau de pain et un vers d'eau pour neutraliser l'effet de l'alcool.

La fête était fini.

Je ne pouvait revenir de cette conversation... J'avais l'air d'un enfant tromatisé du cadavre gisant de ses parents....

Je resta fixé devant la porte silencieusement un bon moment, puis...

Un éclat de génie me vain....

...

Soudain,le téléphone sonna.Après quelque coup il passa en mode intercom.La voix de Atlas ce fit entendre.

-Finlay,je sais que tu es faché,que j'ai un peu trop bu ce soir mais j'ai eu une idée.J'ai compris comment ta douleur psychologique fonctionnait.C'est la peur!Et oui... tu as peur de ton passé et tu dois l'affronter.Je sais que cela ne va pas te plaire mais...

Atlas hésita un très long moment(Les 5 secondes de pause lui semblaire interminable).
Il savait comment son compagnon d'arme réagirait au moment des prochaines paroles.Mais il devait le faire.

-tu dois retourner à Belfast!!

Un très long silence s'installa la seul chose que l'on entendait était la respiration des deux hommes.Atlas respirait très lentement.Comme si un mélange de colère et de compassion règnait.

Un coup sourd ce fit entendre

Ce n'était pas le téléphone qui avait raccrocher. Mais plutôt comme un poing sur du bois...

Atlas compris que Finlay Respirait fort et avait frapper contre son bureau.

Finlay dit

:- Si tu souhaites me garder comme ami Atlas... Tu n'as qu'à me FOUTRE LA PAIX AVEC TES THÉORIES À LA CON !...... PEUR ! JE N'AI PEUR DE RIEN ! JE SUIS LE COMMANDEUR LAZARE. FINLAY EST DÉLAISSÉ ! FINLAY EST PARTI ! NE VIENT SURTOUT PAS ME DIRE MES QUATRE VÉRITÉS ALORS QUE TU ES IVRES SALE CONNARD ALCOOLIQUE ! JE N'IRAIS JAMAIS À BELFAST, TOUT ÇA EST FINI, PASSÉ

FOU MOI LA PAIX ! CE FUT UNE ERREUR DE TE PARLER D'ELLE ! JE NE VEUX JAMAIS EN REPARLER TU ENTEND !?

Un silence se fut, il reprit calmement (comme Finlay le fait toujours après un crise)

:- Nous nous reverrons demain...Pour ce soir , nous allons nous abandonner et oublier tout ceci. Je n'ai plus de temps à perdre sur ces conneries du passé. J'ai des vies à protéger. J'ai un devoir maintenant.......

Il raccrocha cette fois ci

Il se dit en lui même en se levant

:- J'ai un devoir maintenant et je dois le laisser paraître....

Il se tourna et ouvrit un coffre, caché sous un draps dans le fond de son bureau.

Ouvris le coffre et se saisi de ce qui se trouver dedans

Tout devint sombre. Une nouvelle réalité prit vie ce soir....

Tout est maintenant derrière. Atlas m'avais du moins , fait réaliser ceci.

J'ai eu tord de crier sur lui de cette manière...Mais il m’eus piquer au vif.

Nous nous reparlerons.....

Peu surpris de la réaction de Finlay,J'eu un léger soupir.Ennuyer mais surtout fatiguer je jugea bon de faire une sieste.

Trois heures plus tard ma tête était lourde j'eu du mal à me réveiller.Je jetta un coup d'oeil à l'horloge: 3 heures du matin.

-Ces insomnies doivent cesser.Malgrer les pilules je ne dors presque plus!

Malgré l'heure et l'humeur de mon ami je fu persuader que mon compagnon ne dormait pas et décida de me rendre à ses quartiers.Il était troublé,notre discussion fu mouvementé et il devait acueuillir quelqu'un.Je tendis ma flasque à ma bouche mais je me souvenu que j'avais déjà trop bu ce soir et rangea la flasque dans mon veston.Je pris la direction de la porte pour sortir de mes cartiers mais rapidement je me rapela la règle essentiel lorsque je quittait mon refuge.Ne jamais sortir sans mes armes.Comme d'habitude je pris mes armes dans le même ordre,celui d'Athénaïs:

Je pris mon couteau et le mis dans ma botte droite,mon bertta m92F silencieux dans la gaine situer dans mon veston puis le mini pistolet dans la manche gauche de mon veston.


Après un moment j'arriva dans devant la porte du bureau de Finlay.
Comme il était tard je cogna faiblement à la porte.

L'ascenseur monta et monta et monta. Il s'accosta à ce qui semblait être une plateforme et on m'escortai pendant un moment à travers ce qui ressemblait maintenant à une forteresse flottante. Nous tournâme et passâmes à travers plusieurs gardes, jusqu'à temps que nous nous arrêtions devant une porte. Le chef prit la parole:
- C'est le bureau du chef , c'est là que tu va parler de ta venue ici.

Le dirigeant de la petite escouade qui m'avais emmené ici ouvrit la porte et annonça mon arrivé. Puis il m'envoya à l'intérieur. J'ouvrai la porte timidement et la refermai derrière moi. Je m'inclinai encore une fois
devant lui qui semblait être le chef des lieux:
- Bien le bonjour, mon seigneur. Je suis enchanté de vous rencontrer , j'ai beaucoup entendu parler de vous ces derniers temps.

(désolé pour le post plutôt incomplet, je n'est fais un plus complet dans la forêt)

OCC: Atlas, nous allons progresser dans l'espace temps JUSTE MOI ET KRAHE , pour que nous arrivions au même moment dans le temps que toi. Donc en ce moment tu dors , il est 12:45, je vais te prévenir quand nous aurons fini l'entretient de Krahe et que ta venues sera au bon moment. Merci de ta patience.



L'homme devant moi me fit a peine levé le sourcil. J'avais peine à croire qu'il y avait du recrutement à cet heure...

Quel nuit...

Je ne perdit pas trop de temps pour répondre.

Mais soudain...

il portait un masque...

Je le regarda mieux, plus intensément, au travers de ce nouveau masque.

L'odeur , je ne la supportait pas, ce nouveau masque ne m'avait pas encore imprégné. Je commençais à sentir le besoins de le changer. Mais je ne devais pas succomber, ce n'était qu'un signe que l'habitude se déliait de moi.

Bref, je baissa les yeux sur mon livre;

Un recueil de poésie de Charles Baudelaire, extrêmement rare et réservé au bon plaisir des lecteurs avertis...

je répondis d'un air sérieux , mais sans toutefois paraître impoli , seulement un peu fatigué...

:- Bien le bonSOIR...Que se soit clair entre nous (dis-je en ricanant), ne m'appelez pas mon seigneur. Je ne suis pas tant supérieur à vous mon cher...

Je poursuivi en finissant tranquillement de rire

:- Je dois vous avouer que mon district prend de l’ampleur et cela considérant mon invitation cordiale au conseil des 12...Alors Merci , Mais cela n'explique guère votre présence sur ce sol mon cher... Bien que cet endroit est populaire et son chef aussi apparemment..Qu'est ce qui vous amène en ces lieux ?


Avant qu'il réponde, je l'invita par un signe de main à prendre place sur la chaise près de moi.
(situé en diagonale , face à mon bureau. De façon à ne pas obstruer ma vision et de permettre à quelqu'un de s'assoir en face de moi)

Je l'écouta attentivement. Devinant une nouvelle intégration, je mis de la main gauche le registre des membres situé dans le tiroir principal.

Le chef du district ne semblait pas trop joyeux de me voir arrivé: C'est normal à cette heure de la journée, mais il faut dire aussi qu'il ne semblait pas s'avoir couché encore. Je m'inclinai encore légèrement même si il me mentionna qu'il n'aimait pas se faire appeler Mon seigneur. J'allai donc m'asseoir sur la chaise que l'homme m'avais pointée, accotant ma cane au sol malgré mon siège. Je commençai mon semblant de discours:
- J'en suis fort désolé, mon ami. Je ne croyais pas que vous étiez aussi modeste, vous êtes tout de même le chef d'un grand district émergent, vous m'en voyez fort impressionné.

Je laissai passer un petit silence pour lui laisser faire le lien entre ce que je venais de dire et sa première intervention à mon égard. puis je continuai:
- Je dois vous dire premièrement que vos hommes m'ont bien acceuilli, ils ont bien exécuté la démarche à suivre pour les nouveaux arrivés j'imagine et ils ont même fait preuve de compassion à mon égard à cause de mon petit problème...

Je levai ma cane pour lui montrer... ça me tentais pas de tout réexpliquer ma maladie, c'était plutôt embarassant en un sens:
- Mais pour ce qui est de la raison de ma venu... et bien c'est plutôt flou. Je ne sais pas si vous êtes au courrant mais votre district passe comme une rumeur d'une sorte de paradis . Les gens disent que les gens qui ont tout perdu pourront y trouver un chez soit dans ces temps de guerre contre les corrompus... et pour tout dire j'ai moi même combattu la menace plutôt longtemps pour des êtres... très cher, honorable Chef. Je cherchais donc en votre deumeure, des gens comme moi, qui veulent se débarasser de cette menace mondiale

C'est fous comme je déballe vite, il devait être un peu abasourdis de tout ça, je hochai la tête pour moi même et lâchai une phrase comique pour calmer l'athmosphère: malgré que je croyais que c'était vrai:
- C'est plutôt cliché vous ne trouvez pas?

Je sortis le livre et le plaqua fermement sur le bureau et dit haut et fort.

:- Il n'y a rien de cliché mon cher ! Tous ont une façon de m'aborder et LÀ est le plaisir de vous entendre dire tous que mon district est un paradis en enfer...

je pris une pause

:- Il est vrai que mon objectif principal est d'offrir un vie plus ou moins normal à ces gens qui ont vues leur vie basculer... Tout comme vous et moi...

Je dis d'un air expressif et un peu poétique;

:- Ici, c'est la collectivité qui compte et non le repentir. Ce qui veut dire que si tu as des problèmes a noyé...

Plus sérieux

:- Ce n'est pas du tout le bon endroit...

Plus joyeux

:- Toutefois, si ton but et d'aider,comme tu sembles le dire, alors tu es la bien venue. Soit s'en assuré. Des braves hommes qui déjoues ma sécurité comme toi, c'est rare. Tu es malin dans ton genre. Puis-je voir l'épée que tu cache dans ta canne ? J'adore ces armes

Je le rassura en lui expliquant;

:- Ne t'en fait pas , je ne t'en veux pas. C'est bien normal. Je l'ai seulement remarqué par ta manie incessante de cacher la jonction entre le bout de la canne et le bout cylindrique, et de plus on remarque une démarcation légère d'un demi pouce dans ce long tube cylindrique qui sert de fourreau...
L'avantage, c'est que quand nous portons un masque, personne ne sait ou l’on pose les yeux. J'ai remarqué cette canne bien avant que tu ne me la montres...

Je sortis Slayven de son fourreau (caché derrière mon bureau)

:- Voilà la mienne, tu veux voir ?... Qu'a-t-il de meilleur pour faire connaissance, que de se montrer nos armes....

Je dis gentilement

:- Tu m'intéresses. J'ai bien hâte d'apprendre à te connaître. je suis sûr que tu serviras avec brio ce district...

Petit silence


:- Alors ! Sortons une nouvelle fiche pour toi mon cher !

Finlay pris une plume et se mit près à écrire...

Il m'expliqua des choses que je savais déjà, comme la collectivité. Il était totalement logique de ne pas amener des problèmes avec soit dans une nouvelle famille pour leur donner. Donc j'aquiescai avec lui mais peu après il me fis remarquer ma cane . Il avait donc vue, je me demandais comment de temps j'allais encore pouvoir la cacher. Je hochai donc la tête, simplement, et me levai pour prendre son arme qu'il me présenta. Il semblait lui donner une attention particulière, comme moi à la mienne. IL m'intéressais , ce chef de district. Je l'observai: C'était une belle arme bien entretenue, ce qui confirma mes doutes sur l'importance de l'arme. je la remis sur son bureau et allai me placer devant lui je mis un bras dans mon dos, poing fermé et l'autre sur ma cane , en avant:
- Vous avez une vision d'aigle mon cher, puisque vous semblez vouloir me recruter dans le district qui est votre et que vous me tendez tout ce que vous avez comme arme: je vais faire de même. Je dois vous avouer que ce que ma cane est loin d'être mon atout. C'est ce que j'utilise quand je n'ai pas le temps de sortir le reste. Et je dois dire que votre lame à comparé la mienne est extraordinaire et que je la respecte, elle se nomme comment?

Je n'attendis pas sa réponse et continuai sur le même sujet:
- Je dois dire que j'ai bien déjoué vos garde...

je levai ma cane et dégainai la lame. Je la déposai sur le bureau du commandant Lazare:
- Elle se nomme Justice, car c'est ce qu'elle défend, tout comme moi.


J'ouvrai ensuite me trench coat modifié et en sortis un revolver de qualitée, je le déposai aussi sur la table de mon futur chef:
- Elle se nomme Karelle, tout comme ma fille décédée.

Sur ces dernières paroles je fis un petit silence, mais je continuai encore. Je sortis de mon sac d'alchimie mes deux poings américains de type Taser gun et les déposai sur la table à côté du reste:
- Eux ils se nomment Taxes et impots... je trouvais ça sympatique, car avant cet enfer c'est ça qui nous mettaient K.O. haha...

Je sortis ensuite une boite d'armement et l'ouvris: C'était un fusil en pièces détachés. Je l'assemblai et visai avec pour voir si il était bien monté. Je le déposai lui aussi, sur la table de l'homme qui m'accuillait:
- Lui, il se nomme Thor, comme le dieu mythologique... ou le héro de Marvel: une bande déssiné aux états unis. Je l'ai appelé ainsi car il fait le bruit du tonnerre quand il tir.. c'est loin d'être de la camelot.

Je jetai un regard à Finlay qui devait être ébahis de voir autant d'armes sortir d'un si petit sac mais je n'en fis pas un cas: je devais lui montrer pour l'honnêteté. pour la justice. Je suis vraiment fanatique...
Je déposai ensuite une à une les types de contenants alchimiques que je possédais et les énumérai:
- Grenade, bombe incendière, bombe fumigène, grenade immortel, flasque d'acide, poudre brulante, antidote ''quasi'' universelle , sodium, onguent de force temporaire et anti-immortel sodium .

Je remis mon regard sur finlay :
- C'est tout je crois.

J’eus l'air impressionné au travers de mon masque. Cette homme était plein de surprise. J'aimais son style.

Il me fit ricaner par son malaise apparent..

Soudain...

Finlay... mon amour... Il est fort...Il est ce que tu as besoins...Il est un outil précieux... Il t'aidera dans ta lutte... Il est pure...

Elle parlait comme si elle se situait dans mon bureau depuis le début..Elle avait donc assister à toute la conversation...C'était magique... JAMAIS elle n'avait pris partie dans mes affaires de district.

La voilà qui prenait de son coté...Je me DEVAIS de l'écouter...Elle disait toujours vrai...

Je me levis et la chercha, en tournant la tête dans tous les sens...Elle était ici !

je dis inconsciemment

:- Mon amour ? Ou es-tu ?.. Montre toi...

J’arrêtais brusquement. QU'ÉTAIS-JE en train de faire !!!???

Pauvre con !

Je me tourna vers lui et me rassied de nouveau.

je dis

:- Je vous pris de m’excuser...Mais BREF ! Rangez tout ce matériel. Je vous veux dans mon district...C'est décidé et non ce n'est pas à cause de votre armada... Vous êtes ce donc j'ai besoins...

Je sortis une feuille du livre recouvert d'Un cuir brun.

La plaça devant moi et pris une plume et me mis près à écrire...

:-Votre nom, le vrai sil vous plaît.

J'étais secrètement enchanté, sous mon air sérieux de fonctionnaire, qu'il rejoigne mes rangs. Une nouvelle amitié , peut-être, allait germer dans cette rencontre inopiné...

Peut-être. Mais ne nous emportons pas trop vite. Mais une chose était sure. Il devait être des nôtres pour le bien de la paix sur cette terre...

Enfin.

(la réunion est probablement finit)

note: J'ai racourci ce poste car lorsque je l'ai envoyé la premiere fois il y a eu un gros lag alors j'ai voulu éviter de me rettaper tout le texte.


Je pénétra dans le bureau et je cntempla celui-ci comme si je posait mes yeux sur une oeuvre d'art qui me façinait depuis longtemps.

Par la suite je me tourna vers mon commandant et je lui tendis une envellope. Je chuchotta discrètement

-Elle m'est destiné mais je crois qu'il est important que vous soyez au courant de son contenu. Le sceau de cette enveloppe est synonime de sang, de feu, et d'amour bestial.

Suite à mes mots j'alla contempler le ciel de cette nuit fraiche et mystérieuse.