La rencontre de l'océan avec le puissant (Finster et Himmler)

Finster c'était dépêcher et avait ammener sa grande épée. il marchait avec patience sur le quai a l'endroit prévus pour la rencontre du fureur...

Finster était quelques fois venus dans cette ville historique depuis son exil après s'être fait détrôné. Les chauds rayons du soleil, même en ce début de matinée, venant apporter du bien sur le quai de la ville. Amarthdael à la ceinture, le capitiane du navire enviait un peu cet homme qu'il était sur le point de rencontrer pour la première fois. Il était devenu ce que lui-même a toujours désiré, mais il a eu un peu plus de chances. Mais il le respectait, et même s'il ne l'avait jamais vu, son nom faisait toujours sa marque dans tout ce qui restait de l'humanité. Quant à lui-même, on l'avait oublié, perdu.
«Il faut passer à autres choses.»
Le teint et l'expression sombre que Finster avait quelques années plus tôt avaient été remplacés par un visage de gaiété, mais sérieux, considérant la situation moderne. Il avait fini de s'appitoyer, et souhaitait avancer. Seulement, il avait besoin de l'arrivée du Führer pour cela, chose qui n'était pas encore faite. Il y avait quelques pêcheurs sur le quai, passant, certains maudissant l'immense navire qui venait d'accoster, d'autre souhaitant vendre leur marchandise, et d'autres simplement saluant. Finster en aborda un après une quinzaine de minutes d'attente:
-Bonjour mon bon citoyen, auriez la moindre idée de l'endroit où pourrait être le Führer en ce moment?
-Aucunement, lâcha le citoyen, laissez-moi tranquille.
Et celui-ci partit en d'un pas rapide vers son petit bateau de pêche. Finster soupira, avant de trouver un banc en bois, au pied duquel trois pigeons picossaient par terre. Il alla s'y asseoir, tassant Amarthdael , et attendant de nouveau.
«J'espère que les Allemands ne sont pas tous devenus aussi bête et peu sociables.»

Chu censé le savoir?

edit : bon in game je le c tj po ke tu mattend. donc fait un post ou un gentil petit secrétaire dit ki veu me voir... pcq moi fo je rep au captain...

hienrichh entra dans son bureau et appercevit une notes venant de sa secrétaire:

Capitaine de navire de guerre désire te voir

Au quai au sud de berlin a 9H

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Le fureur regarda l'horloge et il était 9H10, il était en retard !

Le temps passait toujours à une vitesse terriblement lente sur le banc de Finster, qui regardait l'horloge qui était fixé à une tour dans la ville, mais qui était clairement visible du quai. Après s'être fait mis à côté par un pêcheur frustré, il avait décidé de rester à attendre au lieu de rendez-vous sans bouger. Il avait beau croire le Fhürer occupée, trente minutes de retard, cela commençait à faire beaucoup. Amarthdael n'était plus à sa ceinture, mais il la regardait maintenant briller au soleil, échangeant fois après fois son regard de son épée à l'horloge.
«Pourquoi chaque minute est plus longue que l'autre qui la précédait? Est-ce l'aiguille qui a de plus en plus de misère à recommencer le même mouvement, ou suis-je encore entrain de raconter n'importe quoi?»
Le capitaine du Sharks se secoua la tête, et jeta un coup d'oeil autour de lui pour chercher un signe de la personne qu'il attendait depuis si longtemps, mais en vain. Il en profita donc pour prier, toujours immobile sur son siège, il ferma les paupières, et dit dans sa tête:
«Mon dieu, cette attente peut me sembler certes longues et pénibles, mais elle me sera nécessaire, même si je n'en sais pas encore la signification. Vos choix ont toujours été les meilleurs, même si certains m'ont menés vers une plus grande difficultés. Il ne sont fait que pour mon bien, et je comprends de mieux en mieux vos désirs. Par contre, je sais qu'on m'attends ailleurs, et que mon aide pourrait être apporté à des dizaines, voir des centaines d'humains sur Terre. Alors, je vous pris, soyez miséricordieux, et si vous me pensez sensé, faites finir cette attente afin que je puisse continuer vers une route meilleure. Peu importe votre choix, je sais que vous ferez le meilleur, et que j'en verrai les impacts un jour. Merci.»
Finster mit sa main sur son coeur quelques secondes, et la remit sur Amarthdael. Il prit une grande respiration, laissant ses yeux fermés, ne faisant que se reposer à la brise de Berlin.

Himmler reçut la note en revenant de sa mission d'espionnage improvisée. Cette note le conviait à un rendez-vous avec un certain Finster de Carufel ( sry si c mal écrit), au docks de Berlin. Mais l'heure du rendez-vous était déjà arrivée, et cela lui prendrait bien 30 minutes se rendre sur les lieux, cela bien sur s'il usait de son autorité pour rouler à une vitesse que n'aurait pas renié un coureur automobile professionnel et ignorer les feux et les signalisations. Tout en se précipitant vers sa voiture, il espéra que cet homme comptait la patience dans ses vertus. Il démarra au quart de tour, ne donnant aucune indication sur sa destination. Les secondes s'égrannaient au rythme du paysage qui défilait autour de lui. Cette vallée close qu'il avait repris au mains des corrompus pour y loger son bunker et la nouvelle ville de Berlin, entourés tout deux de puissantes défenses qui avaient maintes fois faites leur preuves. Reportant son regard sur la route, il jeta un coup d'oeil à son conteur de vitesse. 230 km/h. à cette vistesse, il serait au rendez-vous dans 10 minutes. Vérifiant que son signal d'urgence, fonctionnait, il appuya encore plus sur l'accélérateur.

Au loin, finster entendit une sirène et des crissements de pneus. Une mercedes tourna soudain le coin sur les chapeau de roue. Elle fila droit vers lui, s'arrêta en effectuant un dérapage controlé qui positionna le siège conducteur face au bateau. Un homme en sorti, les cheveux au vent, son manteau long. il sembla chercher quelqu'un, puis son regard porta sur le bateau, puis sur lui. D'une démarche d'une agileté apparente, le nouveau venu s'avança lentement vers Finster.

Dès qu'il le vit, Heinrich sut que c'était l'homme qu'il recherchait, en vue de ce gigantesque bateau. Son regard porta ensuite vers l,homme assis sur un banc à coté de ce monstre de métal, obsédé par les reflets du soleil sur la lame d'une épée d'une beauté inégalée. serrant bien le couteau explosif dans sa manche, redoutant que toute cette mise en scène ne soit qu'un piège, il avanca lentement vers l'homme. À la hauteur du capitaine, il le jaugea, puis engagea la conversation:

-Bonjour monsieur de Carufel. Je suis Heinrich Himmler, furher du 4eme reich. J'ai reçu votre note concernant un rendez-vous. Désolé pour le retard, mais je ne suis rentré que très récemment d'une périlleuse mission ( euh, elle aurait pu l'être si alicia maurait spotté XD) et n'ai pris connaissance de ce message qu'il y a une demi-heure. Et comme vous l'avez surement remarqué, je n'ai pas ménagé sur la vitesse pour ne pas abuser trop de cette vertu qu'est la patience et qui vous semble inhérente. Alors, voulez-vous performer cet entretien ici, ou bien dans un endroit privé?

Finster se leva dès qu'il entendit les pneus de la mercedes crisser au tournant de la rue. Il eut un sursaut assez bref, mais se ravisa. C'est lorsqu'il vit la croix gamée à l'envers sur le torse de l'homme, il ne se posa pas de question. Il n'est pas le temps d'ouvrir la bouche que le nazi lançait son message de bienvenue. Lorsqu'il eut fini, il baissa la tête en guise de salut, et lança:
-Heil Himmler.
Il releva sa tête pour examiner d'un coup d'oeil rapide le chef nazi qu'il connaissait seulement du nom d'Himmler, et pris la peine de regarder [i][u]Amarthdael derrière lui, sur le bon, une fraction de secondes. Une fois cela fait, il répondit au Fhürer:
-Je me nomme Finster De Carufel. Je suis exilé du Québec depuis de nombreuses années, et erre sur ces terres depuis bien longtemps, tentant d'aider dans la situation du monde actuelle. J'ai, grâce à l'aide des implacables, récupéré l'arme que vous voyez derrière moi, le *Sharks*. Après une démission du côté des implacables, je viens proposer mes services au 4e Reich Nazi, ainsi que ceux de mon équipage, et bien sur de mon navire. Je n'ai aucune demande, sauf celle d'être payé pour faire vivre un capitaine et deux cents membres d'équipage. Le *Sharks* a servit à la guerre, au transports militaires et marchandiers, de port de rencontre d'hélicoptère, et quelques autres fonctions. Nous sommes à votre total disposition et souhaitons aider le Reich dans son avancée.
Finster reprit son souffle après ce discours sans arrêts et pauses. Impoliment, il n'avait pas répondu à l'unique question que le Fhürer lui avait posé, mais il se ravisa tout de suite après:
-Et, sachez que le lieu de l'entretien ne me dérange guère. Bien que j'ai déjà dit la majorité, je n'ai rien à cacher, et suis ouvert à le faire ici, en public. Vous seul pourriez maintenant décider de changer de lieu.
Encore une fois, Finster admirait ce grand homme, qui était devenu ce que lui avait toujours rêvé de devenir, et dans lequel il avait échoué. Il ne tarderait pas à lui dire, mais il ne voudrait pas révéler son triste passé alors qu'ils se connaissent à peine, de peur qu'il soit prit de vantardise. Néanmoins, le petit logo de croix lui faisait regréter ce jour où les américains l'avaient enfermés dans ce cachot sombre et lugubre...

(c obn sa -___- le chef du district disparait lol)

(OOC: je sais... i va revenir lundi a ce qui parait...)

Himmler détailla traits pas traits cet homme qui venait sans crier gare de lui proposer ses services. L'ennui, c'est qu'il ne savait rien de cet homme, de ses capacités, de sa loyauté même. Qui était cet homme? Que faisait-il ici? Quels étaient ces buts? Ceux qu'il lui avait mentionné, le servir? Ou au contraire lui causer du tort? Comment être sur qu'il pouvait avoir confiance en lui? S'il pouvait vraiment apporter un quelconque bénéfice face aux corrompus et aux ombrageux?Le furher ne vit qu'un seul moyen. Il sorti son mauser p39, chargé qu'il portait toujours à sa ceinture. Il le posa à coté du capitaine, le regarda dans les yeux avec une expression de défi et dit:

- Mais bon, avant de parler, je croit qu'il convient de se désarmer. On ne voudrait pas qu'il se passe quelque chose de regrettable dans cette rencontre entre deux personnes civilisées.

Le furher regarda son interlocuteur, attendant de voir sa réaction. Dès son premier mouvement, sa main se porta en un mouvement imperceptible vers l'étui de son couteau de combat dans son dos. Un réflexe qui, s'il ne l'avait pas contrôle, aurait pu lui couter cher dans l'esprit de Finster. Bientôt, il saurait s'il avait eu raison de faire confiance au jeune homme, tout dépendemment de sa réactions à ce geste et à son résultat à ce petit test

Finster ne broncha pas lorsque le führer sortit son arme à feu, et la déposa près de lui. Celui-ci aurait bien pu le tirer aisément parce qu’il n’aimait pas sa face, ou qu’il était frustré après quelque chose, mais il n’avait rien fait. De toute manière, s’il était tué aujourd’hui ou dans cinquante ans, cela ne lui faisait rien, il mourrait bien un jour ou l’autre. Le Führer l’avait tout simplement laissé la, près de Finster au lieu de lui-même. Même avec beaucoup de clémence, un haut-placé ou un dirigeant se laisse rarement démuni devant des inconnus, ou quasi-inconnus. Ceci était encore moins applicable avec des nazis Donc, le Führer considérait soit Finster assez de confiance pour baisser les armes, ou alors il était testé. La première hypothèse étant encore une fois pas très nazie, il opta pour la deuxième. Finster leva simplement les bras en guise d’exposition au Führer, avant de dire simplement :

-Je ne suis pas un tireur, les armes à feu m’écœurent. Je ne suis armé qu’uniquement de ma chère Amarthdael que vous voyez sur le banc derrière moi. (Finster y jeta un petit œil, afin de s’assurer qu’elle y soit toujours, ce qui était positif) Habituellement, j’ai un couteau de combat sur moi, mais je l’ai laissé dans ma chambre, avec les dizaines d’autres épées que je collectionne. Si vous désirez, je peux vous les montrer, et si vous doutez de ma parole, alors je vous laisse me fouiller pour rassurer votre conscience déjà débordée assurément.

Tout ce qu’il avait dit n’était que vérité. Il n’avait pas pris la peine d’amener des armes autres que Amarthdael, considérant que le Sharks était derrière lui, armé jusqu’aux dents. Il garda ses bras dans les airs jusqu’à la réponse du Führer, mais il préféra ajouter :

-Je suis entrain de faire le plein d’essence à votre port, donnant environ 60 000$ aux pétroliers nazis (considérant que l’essence est à 5$ et que le navire à des réservoirs de 12 000 L). Avec ce carburant, je pense que vous pourriez venir faire un tour alors que nous allons en pleine mer. Ce n’est peut-être pas très écologique, mais je n’ai pas encore le budget de poser des panneaux solaires et des machines hydroélectriques en assez grande quantité pour le faire avancer.

Ce n’était peut-être pas l’idéal à dire, mais Finster trouvait pertinent de dire la contenance de ses réservoirs, mettant en plan la simple grandeur du navire (considérant que le Führer sait calculer et qu’il sait que l’essence est à 5$/L). Finster ne fixait pas le Führer de manière soutenue, mais simplement calme, et direct.

Le furher sourit. Le premier test était passé. Mais c'était surement le plus facile. Il tendit la main vers son arme, en reprit possession, appréciant la douce fraicheur du metal en contact avec sa main. Cette arme, qu'il possédait depuis 5 ans, ne l'avait jamais laissé tombé, et son chant était celui de la mort. Mais aujourd'hui, la chanson de cet instrument de la volonté de la nation ne serait pas annonciateur de trépas, mais de vérité. Ce serait le verdict d'un juge omnipotent, distinguant la vérité pure du sombre mensonge. Ce serait le cri de départ d'une lutte entre 2 titans, une lutte non pas de pouvoir, mais de puissance. Ce combat aux préludes tout à fait banales augurait une destruction et un chaos aux allures apocalyptiques, mais il déciderait du sort d'une nation entière, et chaque issue changerait certainement le déroulement de la guerre qui les rongeait depuis une décennie. Cet affrontement déterminerait si l'allemagne compterait un nouvel allié de valeur, serait de nouveau en guerre face à un ennemi que Himmler ne pouvait estimer, ou serait privé de celui qui l'avait sortie de la panique et du chaos où elle se trouvait à l'arrivée du fléau qu'était la question corrompue. L'enjeux était de taille, les scénarios bénéfiques en nombres inférieurs, mais Heinrich savait que parfois les probabilités n'étaient que des barrières que nous imposait la réalité. L'ancien Himmler rationnel et logique en tout temps n'était plus de ce monde. Il était mort à lors du combat face à Zabrack. Il avait été brisé, pour ensuite se reforger en une entité d'une démence infinie, une puissance qui dormait et veillait, attendant le moment de sortir pour décupler la puissance de son hôte et enfin vaincre son créateur. Le chef du 4eme reich, loin d'en sombrer dans la folie, en avait tiré partie, modifiant au passage sa vision des choses. Il avait changé. Mais la guerre... la guerre ne change jamais. Voila pourquoi Il prenait ce risque, qu'il remettait tout en jeux pour une aide supplémentaire. Car ce qui ne tue pas rend plus fort. Il leva son arme vers le capitaine et dit simplement:

-Esquive.

Puis, il appuya sur la gachette.

PS: Avou ke tu lavai po vu venir XD Pi sry si c po super long, dabitude jfais fucking plus épique ke ca, mais la g pu gros de temps ni d'énergie ( yé 2 heures du mat environ XD). Mais jte promet ke le combat va être épique, pi si on chasse le corrompu ensembvle, ma faire un bo ti post psycho ^^

Finster ne bougeait pas, même si le Führer continuait de le fixer ardemment sans passer de commentaires. Finster, toujours les bras levés, ne bougea pas lorsqu’il vit le dirigeant nazi reprendre et lever son arme.

«Étrange, il semble que ce ne soit pas un politicien ordinaire. J’ai bien l’impression que je fais devoir payer cher cet enrôlement. Au moins, pas de faibles.»

Alors, il vit Himmler commencer à mettre de la pression sur la gâchette, et sur cet instant, Finster savait que les petits jeux de mot enfantins étaient terminés. Mais il ne bougea pas.

«Voilà qui devrait suffire à l’impressionner s’il ose.»

Alors, Himmler finit d’appuyer, et une balle en sortit. Finst resta toujours immobile. Même à une vitesse effrénée, Finster voyait lentement la balle avancer vers lui, jusqu’à ce qu’elle vienne se ficher dans son thorax. Alors, un puissant bruit métallique retentit, comme un choc. Finster ne recula même pas. Il ne ressentait aucune douleur, il ne saignait pas. Le Führer semblait tout de même surpris, mais ne le laissait pas beaucoup voir. Il resta lui aussi immobile, attendant la suite des événements. Finster dit alors :

-J’aime votre manière de faire les choses, Führer. Toujours alerte, toujours prudent. À ce que je peux voir, les ballades en bateau ne vous plaisent guère, et vous préférez davantage un peu d’action pure.

Finster détacha les boutons de son vieux chandail, laissant son torse complètement à découvert. Un torse brillant. Un torse métallique. Une grande plaque de fer lui couvrait tout le devant du corps, des épaules au bassin, semblant d’une épaisseur et d’une résistance incroyable. Au centre, entre les pectoraux, il y avait une ‘’poc’’, un trou, enfoncé, et brûlé. La petite balle fumait encore à travers cette armure intégrée.

-Gracieuseté de messieurs les italiens. Je dois dire qu’ils m’avaient auparavant enfermé non-loin d’une demi-année dans les catacombes de Rome, alors de revenir me chercher pour me découvrir quasiment mort les organes grugés par un cancer meurtrier. Je ne sais pas si vous aimez les italiens autant que votre prédécesseur, mais dans mon cas, je ne les apprécie pas trop, même s’ils m’ont donnés ça, ils m’ont abandonnés après.

Finster se retourna vivement, et empoigna Amarthdael sur le banc derrière lui, et revint immédiatement face au Führer. Avec un visage sérieux et terne, il dit :

-J’imagine que cette partie sombre de mon existence ne vous intéresse point, et je crois que vous préférez grandement votre politique.

Finster leva rapidement Amarthdael, et la pointa vers le Fürher, en lâchant :

-Si vous désirez vous battre, il me fera plaisir alors de vous affronter.


(OOC: Sceptique? Tu peux aller vérifier dans mon histoire, ça fait 5 mois que ctinventer ça. Pis si tu parlais d'innatendu, je crois que ça tu t'y en attendais pas.)

OOC: XD non je te croit XD... En fait, je mattendais a ske tu survive, mais ca affraid. Pi c vrai ke chu po un politicien ordinaire... a moin ke jean charest samuse a tirer sur c députés XD...

Himmler sourit. Non, il ne s'y attendait pas, mais oui, il savait que finster s'en sortirait. Au départ, il ne souhaitait pas aller plus loin qu'un coup de feu, mais cette invitation était tentante... De plus, elle confirmerait la puissance du capitaine. Un sourire narquois en coin, Himmler répondit:

-Oh mais bien sur. Je serais ravi d'agréer à cette invitation.

Il fit une révérence, qu'il mua aussitôt en un saut périlleux arrière (backflip) qui le porta accroupi sur le toit de sa voiture, une main sur le toit, l'autre pointant le mauser le bas de son long manteau déployé en éventail derrière lui. Il tira 4 coups en direction de son opposant et sauta à la suite des balles, dégainant son couteau de combat de sa main prédominante, la gauche. Il se jeta droit sur son homonyme, sachant très bien qu'il possédait une arme qui lui donnait l'avantage au combat à courte distance, ainsi qu'une autre qui lui permettait de remporter la palme à longue distance, si le besoin d'u8n peu d'espace se faisait sentir. La seule chose qu'il se devait d'éviter était le combat à distance moyenne, style de prédilection des épées longue telle celle de son adversaire. Donc, tant qu'il était tout près de son ennemi ou hors de portée de son épée, tout irait bien. L'ennui, c'était cette cuirasse qui réduisait grandement les surfaces non mortelles qu'il pouvait atteindre. Car son but était au maximum de blesser le nouvel arrivant. Un allié mort est un allié inutile. Arrivée près de sa cible, il effectua quelque frappes précises visant tout d'abord les jambes puis le bras armé. Après cette escarmouche, il sauta en arrière, atterrissant en parfait équilibre sur un des pilotis de la jetée. levant à nouveau son arme au chant dévastateur. 5 détonations se firent entendre, 5 sons puissants et insaisissables, 5 signes de trépas. Himmler baissa son arme au canon fumant, contemplant l'œuvre du prélude de ce combat. Analysant les coups qui avaient portés fruits, remarquant les faiblesse et les ponts forts de son ennemi. Et force lui était d'admettre que ces derniers étaient en beaucoup plus grand nombre que les premiers. Ce serait une longue lutte. Ne laissant en rien transparaitre cette nouvelle perspective des choses, il sourit et lança d'une voix narquoise:

-Alors, déjà essoufflé? Mais voyons, ça ne fait que commencer. Vous savez, avant que vous veniez, j'était dans une mission très importante que j'ai du terminer précocement pour ce rendez-vous. Ne me faites pas regretter ce choix, s'il-vous-plait.

Les bruits des combats avaient alertés les habitants des alentours, les forces de l'ordre et les marins du bateau de Finster. Tous reconnaissaient leur chef au prise avec un inconnu, et se préparaient à entrer en action pour le tirer de ce mauvais pas. Voyant cela, himmler leva un bras, et cria:

- Non, n'intervenez pas! Ceci est entre lui et moi! Et vous, marins, sachez que cette affaire ne vous concerne en rien. Restez à bord et n'intervenez en aucun cas!

Sur ce, il reporta son attention sur le capitaine, aux aguets, attendant son prochain mouvement.

Finster, qui avait pris un air sérieux, le garda tout en fixant Himmler, qui, après avoir aimablement accepté son invitation au combat, avait sauté en tournant sur lui-même. Le vent frais de la Manche vint fouetter le visage des deux adversaires, qui venait simplement pour se rencontrer. Le public sur les quais en bois commençait à s’amasser, et Finster, sans même regarder derrière lui, pouvait voir qu’il y avait de l’agitation dans le Sharks.

«Je n’avais certes pas prévu un combat. J’imagine que je vais devoir les arrêter avant qu’ils ne fassent de mal au Führer. Il faudrait que je le blesse un peu et rapidement pour qu’il recule et cesse ce petit jeu. Malheureusement, Amarthdael ne blesse pas, elle tue. Je ne me suis pas aider pour ce coup là.»

Finster répondit sèchement au Führer qui semblait se préparer à tirer ses balles. Les nuages gris venaient cacher les petits rayons de soleil matinaux qui avait commencés à apparaître :

-Je ne voudrais pas vous empêcher l’utilisation d’une jambe à cause d’un manque de précaution de ma part, Führer, ou Himmler, si je me puis. Je vous prouverai ma valeur de la meilleure manière qu’il me sera possible de le faire!

Sur ce, le Führer lâcha ses quatre balles, qui, tirées les unes après les autres, se suivirent, et Finster n’eut aucune misère à les recevoir dans le thorax comme les dernières. Les cinqs coups le firent reculer un peu, mais il leva immédiatement Amarthdael pour recevoir Himmler qui brandissait un petit couteau. Après avoir bloqué, il mit toute la force qu’il avait pour repousser son adversaire, et fixa le bras gauche, qui tenait le couteau.

«Sans son petit couteau, il fuira lentement, tirant balles après balles, et je finirai bien par le rattraper. Je dois donc lui blesser le bras gauche, juste assez pour le déstabiliser. Si je lui coupes, je me mets encore plus dans la marde.»

Finster leva Amarthdael, qui même dans l’ombre des sombres nuages brillait des runes inscrites, ne signifiant rien pour la plupart d’entre eux. Finster tenta d’atteindre le bras gauche, en faisant des aller-retours avec son épée. S’il arrêtait son mouvement, il se fatiguerait, il tenta plutôt de revenir en ronds afin de conserver son impulsion et de toujours menacer le Führer. Tenant fermement le manche à deux mains, il tenta d’atteindre son adversaire de multiples fois. Dans l’échec, Himmler ce serait alors vu obliger de reculer, et Finster gagnait du terrain. Le fait d’avancer était souvent bon signe au corps-à-corps. Finster était tout de même surpris que le dirigeant soit capable de se défendre d’un monstre comme Amarthdael avec un vulgaire couteau de cuisine. Après que le chef nazi ai encore une fois sauté par l’arrière, celui tira encore cinq balles de son fusil au drôle de nom.

«Si je prends trop de balles encore, je vais affaiblir mon système. C’est pas bon. Je ne l’ai pas changé depuis trop longtemps. Je dois en éviter.»

Finster revoyait dans sa tête, même s’il ne les regardait, les centaines de trous de balles qu’il y avait déjà, suites aux batailles qu’il avait subit. Il devrait la faire réparer par un maître mécanicien, et même peut-être un médecin aussi. Disons que le Führer lui n’attendrait sûrement pas. Alors, Finster tenta d’éviter les balles, et si cela était impossible, il tentait de les recevoir sur la cuirasse sur son thorax. Après le coup, il remarqua l’agitation dans le Sharks pendant que la cloche d’alarme sonnait. Alors, d’une voix forte, Finster lança dans le vide:

-Monsieur Remartini, veuillez immédiatement cesser cet état d’alerte. Je suis en simple discussion avec le Führer, retournez tous à vos poste et je vous le dirai si j’ai un problème. C’est un ordre.

Finster sentit une hésitation chez son matelot, mais celui finit par répondre :

-Euh, bien capitaine.

Le brouhaha sembla se calmer dans le Sharks, et les deux adversaires se refixèrent.

«S’il ne tire pas, c’est qu’il attend. Je fonce et il tire, je me mets en situation de danger. Il tire et il fonce, il se met en situation de danger. »

Himmler toujours immobile, Finster prit sa décision. Il fonça, tenant à deux mains Amarthdael sur son côté droit, fonçant sur le Führer.

(attendez mon dileme, ma vous dire qui touche ki demin)

Finster ,aillant commencer l'invitation prévus l'attaqueet recu le sballes au thorax , il ne réussis cependant pas a désarmer le fureur mais lui fit une petite entaille a la main

(c totu ski a a dire continuer)

OOC: XD une simple discussion

Eye g uen idée. Moi pi fin on est tout les 2 raionnables... fak je croit ke ce srai bien pour la rapidité de rp si on pouvait nous-même décider si on touche ou non. Du genre: Himmelr: je tire sur finster. Finster a le choix entre: tu rate, tu me pogne un bras ou une jambe ou de kwa, pi ca pogne mon chest de metal... vous comprenez?

ok ok c bon, mais je tchek si ya des injustice lol

OOC: Anyway himmler a vu ski voulait voir XDD... Pi ca dlair kia d gens poru moi a mon bureau... fak je fini pas mal ca la Xd finster, si tu veu voir une passe d'intelligence épique suis moi...

Le furher sourit en voyant le respect dont finster bénéficiait de la part de son équipage. Être adulé par ce groupe en entier demandait une sagesse et un fort charisme. De plus, en leur intimant l'ordre de ne pas intervenir, il avait prouvé sa bravoure et son sens de la justice. Ces caractéristiques additionnées à son étonnante aptitude au combat, son agileté et le fait qu'il ne voulait vraissemblablement pas le tuer faisait de lui un atout prometteur. Encore un peu tôt pour parler de confiance aveugle, mais le capitaine du sharks avait fait un pas dans la bonne direction. Maintenant, il fallait terminer ce combat. Et, si possible, s'arranger pour que cela ne ressemble pas à un forfait de sa part. Himmler avait tout de même sa fierté... Alors, son opposant se mit a charger vers lui. Exactement la démonstration de force inutile qu'il lui fallait pour terminer en beauté.

-Vous êtes très fort mon cher monsieur de Carufel.

Sans laisser aucun indice avant la dernière seconde, il sauta directement dans les jambes de son assaillant. Emporté par sa charge et son élan, celui-ci trébucha sur le ventre. Usant de sa rapidité ahurissante, Heinrich se remit debout, plaqua au sol son opposant qui tentais déja de se relever, et le bout du canon de son arme à la base du crane de sa proie. Loin de le menacer, il voulait seulement lui signifier qu'il avait gagné ce combat. Lentement, il se releva, rangea ses armes, se retourna et marcha vers sa voiture.

-Mais pas assez pour me vaincre. Néanmoins, je croit que vous ne manquez d'aucune qualité pour être utile à cette nation. Je suis désolé de ne pouvoir rester davantage, mais je me doit de rentrer au bercail. J'ai quelque affaires importantes à régler. Si vous voulez, vous pouvez me suivre jusqu'a mon bureau, où je me ferai un plaisir d'arranger votre entrée dans cette nation, ou bien je repasserai plus tard si l'idée de quitter votre navire et vos hommes trop longtemps vous importune. Alors?

Ps: si tu trouve ca trop op, dit le, je me ferai un plaisir de changer certain truc a mon etour lundi... sinon, choisi ske tu veu... jpeu juste te dire ke je vais démasquer un imposteur...

OOC: ouin... normalement t'aurais du recevoir un gros gars pis une épée sur toi lorsque je suis tombé, mais c pas grave, ça change pas grand-chose à l'histoire ^^ ma finir de répondre après (ma encore être pogné pour attendre à lundi -.- XD pas grave, jcommence à être habitué)

Finster se releva (ça reste encore à discuter) aisément, reprenant Amarthdael. Il recula de deux pas, prenant cette fois un faible sourire, chose qu’il n’était pas habitué de faire. Himmler rangea ses armes, alors que Finster fixait le ciel qui s’assombrissait de plus en plus. La dernière balle du Führer avait atteint un trou précédemment fait. Juste devant le poumon gauche. La ‘’poc’’ s’était enfoncée, et Finster la sentait dans sa respiration.

«Il me faut trouver quelqu’un qui puisse m’arranger ça. Le système commence à être endommagé, c’est pas bon. C’est son district, il doit le connaître assez bien pour me conseiller un mécanien.»

Finster prit une grande respiration avant de dire doucement :

-Je vous suivrai volontiers, il me doit de confirmer avec un peu plus d’officiel cette rencontre des plus originales. J’espère pouvoir vous suivre à une assez grande vitesse, pour ce qui est du Sharks, il n’y a pas de problèmes, ils sont très alertes comme vous avez surement pu le constater.

C’est alors qu’une réelle douleur vint commencer à pincer le torse pulmonaire gauche de Finster. Il le sentit réellement, mais tenta de ne pas le laisser paraître. Il maudissait les ingénieurs qui avaient connectés et augmentés la sensibilité des nerfs aux organes remplacés par simple protection. Maintenant, il devenait un fardeau. Malgré son effort, il serra les dents un peu, avant de dire doucement au Führer :

-Pourriez-vous du même fait me conseiller un ingénieur, ou un mécanicien de haute qualité et de grande expérience? J’ai quelques difficultés avec mon système de survie, cela fait quelques temps que je ne l’ai pas fait réparer, comme vous avez pu voir, il est utilisé. Par après, je finaliserai tout ça.

Sept années… Sept années qu’il traînait ce fer sur lui et qu’il le protégeait, lui permettait de survivre. Malheureusement, ces choses ont une limite, et si elle est trop atteinte, il n’y a pas de retour…

(Thats ZE cheap shot!...)

Soudain un grondement puissant se fit entendre, comme un orage. Les deux se reoutrnèrent et appercurent une gigantesque explosion bleutée, de la grandeur d'un pays...

Finster tourna ses yeux vers l'explosion venant de l'Est. Il eut même l'impression que les nuages eux-mêmes avaient bougés, mais cela venait de loin, très très loin, sans l'empêcher d'être grandiose. La douleur de son poumon le fit par contre se reconcentrer.

«Mais qu'est-ce que cela peut être? Les Corrompus seraient-ils rendu à un point tel qu'ils seraient capable de recréer les armes atomiques. Encore là, c'est mille fois ce dont j'ai entendu parler!»

Le champignon atomique continuait de monter, faisant fuir les sombres nuages donnant au ciel cet aspect surnaturel et éclatant. Mais encore là, on avait cette impression de distance.

«Ça vient assurément d'un pays d'Asie. On m'avait parlé que les Corrompus avaient de grandes bases en Chine et dans les alentours. Ce n'est pas bon du tout s'ils en sont rendu à de tels puissances.»

Finster se retourna, remarquant la réaction du Führer.

Un éclair, aveuglant et pur, salvateur des horreurs de ce monde. Un feu dévasteteur, une lumière à la beauté evanescente porteuse d'une puissance dépassant l'entendement. Cet apocalypse oriental se développa sous ses yeux, l'hypnotisant, l'emprisonnant dans un univers de fantaisie. Jamais le furher ne vit telle beauté en ce monde. Pendant les quelques seconde, son esprit s'évapora, se dipersa et la seule chose dont il eu conscience fut l'existence de cette flamme divine. Puis, tout ne fut qu'ombre. Revenant a lui, Himmler comprit qu'il devait se rendre à son cartier général pour savoir ce qui s'était passé. Il se tourna vers sa voiture, son manterau volant dans la brise marine. Il entra dans sa mercedes, et démarra le moteur, attendant que Finster arrive ( dsl c po bin long fo ke jaille travailler... au pire si t tanné en arrivant jte donne une mission pi tu te chow...