De retour au Bercail

Matricule 29 avait téléporté Sael dans une bâtisse abandonner depuis longtemps... En fait, c'était le bâtiment dans lequel Sael s'était caché après avoir bruler l'hôpital... Matricule 29, sans montrer d'émotion car il était visiblement encore sous le choc dit:

-Part maintenant... Tu as tout ce que l'on pouvait te donner... Retourne au Reich et cherche Himmler ou la famille Bielski... Ils sauront quoi faire... Car il n'y rien maintenant que je peux faire pour toi...

Matricule 29 resta silentieux pendant un instant. Il avait de la difficulté à contenir sa peine...

-Si on t'a sauvé, c'est que tu est la réponse à bien des questions... Le fait que tu ais réussi à affecté des Ombrageux même sous forme immatériel est un exploit! De plus, sais-tu vraiment à quoi tu devait servir? Il y a une logique qui dit que, pour chaque faible, il y a un être qui bénificie de ce que cet être a perdu... Il y a une maladie qui se nomme ''Maladie des os de verre''... Un simple coup et les os se brisse... Hors, une des théorie dit que, pour une personne atteinte de cette maladie, une autre sera plus résistante et plus forte... Tu a été une de ses personnes... La preuve que tu était encore plus extra-ordinaire est que tu ai survécu à une cryogénisation... Le reste, pour ce qui est de ton pouvoir, je n'ai aucune idée comment tu as pu avoir ceci, mais si nous avons risqué nos vies et nos destins, c'est pour que tu ais une chance d'accomplir ta destiné... Tu est un être d'exception... Ne gâche pas ton don...

Matricule 29 poussa un long soupir...

-Tu as raison... Ça ne sert à rien d'y retourner... Mais je sais qui peut nous aider...

Matricule 29 disparut après son discours étrangement cohérant...

Sael esseya d'aggriper matricule avant qu'il disparaisse mais cette action fût veine et il accrocha le mur a la place:

- Bon, je dois retourner a la base

Sael monta les escalier et ouvrit la trappe pour soertir de la cave. il entamma la marche vers la base nazis

(OOC: dsl doc, j'attenbdais que le fureur revienne, mais il est pas revenu encore donc je conitnu )

Le voyage se fît sans gros problème... Il y a eu un chien/corrompu qui fini bien vite en fumé, mais sinon le voyage se passa relativement bien... Il atteignit le district nazi après quelques heures de marche... Les gardes le laissairent passé car ils n'avaient eu aucun avis de rechercher concernant Sael...

Sael arêta un garde:
- ou est le fureur?

Sael pouvait entendre un vrombissement lointain. Un hélicoptère approchait de la base. En fait, c'était tout un armada d'hélicoptères qui se posèrent tour à tour. Dans l'un d'eux, on pouvait voir Maïk transportant deux lourdes caisses de munitions non utilisées qui en descendait avec quelques soldats. C'était un peu moins de cinq cent soldats qui débarquaient à la base. Ils revenaient tous de la mission pour venir à la défence de Moscou. Maïk alla voir l'un des soldats les acceuillant sur le site d'atterrissage et y déposa ses deux lourdes caisses de balles.

-Aidez les autres à décharger l'équipement restant. Ne laissez pas une balle derrière. Il y a également quelques blessés à bord. Rien de bien grave pour la plupart, mais ils auront quand même besoin d'un check-up. J'irai livrer mon rapport dès que je pourrai.

-Bien entendu monsieur Bielski.

Maïk comme le soldat se saluèrent mutuellement avant de vaquer à leurs occupations. Ces mots parvirent jusqu'aux oreilles de Sael qui état toujours planté devant le garde. Il retourna à l'hélicoptère pour prendre sa tronçonneuse et prendre la route vers le baraquement des Reinigers.

Sael lacha le garde qui le regardait d'un air béat. Il remarqua que son bras était en feu:
- Oh desoler, Ce n'est que du feu calme toi!

Sael alla voir lui qu semblait le chef (maik).. il tassa quelques garde et éteingnit son bras en feu:
- Savez vous, ou est le fureur?

Maïk déposa sa tronçonneuse au sol pour ensuite regarder Sael de haut en bas, peu convaincu qu'il devrait répondra à sa demande.

-Pour qui vous vous prenez? Déclinez d'abord votre identitée avant de faire une telle demande. Le Führer ne se déplace pas pour n'importe quelle raison ni pour voir n'importe quel civil. Il a mieux à faire.

Il se raidit tout en se croisant les bras pour mieux jauger son interlocuteur.

Sael pris un sourir maccabre:
- Je suis le mec qui a incendier l'hopital, je crois qu'il veux me voir haha

Sael fixa le colosse, les bras croisé lui aussi

((ooc: hum... question... Sael le fait exprès ou il est juste attardé?))

-Je me disais bien que quelque chose avait changé pendant mon absence, mais je ne pouvais pas mettre le doigt dessus...

Maïk se pencha pour ramasser sa tronçonneuse qu'il rattacha à sa main droite. Il ne croyait pas vraiment les propos de Sael, car ils ne l'auraient pas laissé entrer s'il avait réellement fait ça, mais il prenait quand même ses précautions.

-Très drôle, mais soyons un peu sérieux. Si tu veux t'addresser au Führer, ce sera par l'intermédiaire de moi-même. Dis ce que tu veux lui faire savoir et je le lui dirai si c'est intéressant.

- Dit lui exactement ce que je viens de te dire: Que celui qui a incendier l'hopital veux lui parler. Il saura je suis qui et il voudra me voir, je t'en garantis.

Sael décroisa les bras:
- Je vais etre dans cette maison abandonner, quand le fureur voudra me voir

Sael partis a la marche vers le batiment en question. Il ouvrit la porte , monta els escaliers et s'assis suur le vieux lit

(OOC: - j'ai pas fait exiprès...
- OUI ON a fait exiprès, comme sa le colosse allais posé moins ded question tu comprend?

La machoire de Maïk se serra. S'il n'avait pas arrêté Sael alors qu'il lui avait dit ceci, c'est à cause qu'il était paralysé par la colère. Il vient de dire ouvertement à un membre de la Gestapo, la police militaire qu'il avait attaqué le bunker du Reich lui-même? Sael pouvait l'entendre arriver alors qu'il défonceait la porte de sa main libre et chacun de ses pas dans l'escalier pour aller le chercher. Sael vit sa main créer des fissures dans le bois du cadre de porte alors qu'il entrait dans la chambre où il était allé attendre.

-Si c'est vraiment toi qui a fait ça, alors ça change tout... En plus, je voulais tester ce petit bijou créé par ma soeur. Toutes ces abominations à Moscou étaient tout simplement trop flasques pour en tirer toutes ses capacités!

Maïk enfoncea sa tronçonneuse dans le sol qui déchirait le bois comme s'il n'existait pas. Il la relevait tout en avanceant vers Sael. La pièce était déjà fragile et l'arme de Maïk avait achevé de la détruire.

-J'ai changé d'avis, tu pourra aller voir notre très cher Führer... Dans un sac à cadavre!

Les deux tombèrent à l'étage en dessous alors que le sol se détruisait sous eux. De la fumée émanait de la tronçonneuse de Maïk alors que le nouveau moteur s'activait vraiment. Le cadre de l'arme lui-même semblait trember par la force générée.

-Je te donne une dernière chance de me dissuader de te découper en un tas informe de chair...

Ses yeux émanaient une colère pure. Il n'y avais aucun doute dans l'esprit de Sael sur son appartenance à la même famille qu'Alicia. Il renfila son masque à gaz dont les verres devant ses yeux s'illuminaient d'une lumière rouge alors qu'il s'activait.

-J'attends...

Sael commença a rire gravement:
- J'ai rien contre le fait de fair une bonne vieille baston qui va incendier le cartier mais pour te dissuader de le fair: C'est le Doc D qui m'envoit ET j'ai des nouvelles de lui ET je suis sensé vous aider, a l'aider. Alors si tu me tue, doc mourra

Sael sourrit tout en croisant les bras

La tronçonneuse continuait de cracher sa fumée acre et ses flammes de ses points d'échappement, puis, elle s'éteignit lentement. La lumière rouge des yeux de son masque à gaz en firent de même et il le retira. Ce n'était pas l'envie de l'attaquer qui lui manquait, mais le simple fait d'avoir mentionné le Doc D avait grandement aidé le cas de Sael.

-Si c'est lui qui t'envoie alors c'est bon... Toutefois, je vais garder un oeil sur toi. J'ai beau faire confiance au Doc, je n'ai absolument aucune confiance en toi. Si je vois que tu tente quoi que ce soit de louche, je n'aurai aucuns remords à te faire la peau.

Il fit basculer son arme sur son épaule et fit un signe de tête à Sael pour lui dire de le suivre dehors avant de se retourner pour sortir de l'hopital.

-Avant j'aimerais bien que tu me dises ce qui s'est passé pour que l'hopital des officiers soit ainsi détruit.

(OOC: Depuis quand je suis une excuse pour ne pas tuer qulqu'un??? SA NE PASSE PAS! xD Vous êtes trop sensibles les gars... Je reviendrais quand vous aurez besoin de moi... Pour le moment, continuer... Rien à ajouter...)

Maïk s'arrêta de marcher net et Sael se cogna dans son dos. Il ne fit que retourner la tête vers Sael sans lui faire face.

-Il me semble t'avoir posé une question... Qu'est-ce qui s'est passé ici? Tu peux répondre à cette simple question, non?