Préparation.

Zéline venait tout juste de descendre du dirigeable, lorsqu'elle remarqua le paysage. Le village où elle avait atterrit était complètement abandonné, il n'y avait aucun signe de vie, sauf pour ce qui est des personnes qui s'occupaient du débarcadère... et encore là. On lui avait d'ailleurs indiqué le château, mais elle fut encore plus surprise lorsqu'elle aperçu le château qui surplombait le village. Le château semblait extrêmement vieux et sans vie. Zéline avait même l'impression que le château allait tomber dans les prochaines minutes, comme un château de carte. Malgré tout, elle s'approcha du château et fut invité à entrer. Edgar avait appelé quelque minutes plus tôt pour annoncé sa visite.

Lorsque Zéline entra dans le château et fut évidemment encore plus surprise de voir qu'à l'intérieur du château, rien n'était comme à l'extérieur. L'intérieur montrait que le district 11 ne manquait pas d'argent, on y retrouvait beaucoup de bibelot de très grande valeur. Zéline était d'ailleurs émerveillé par la grandeur des lieux lorsqu'un majordome lui adressa la parole.

- Bon soir Mademoiselle. Edgar à annoncé votre visite. Nous vous avons installé dans la plus belle et grande chambre du château. Suivez moi, je vais vous la montrer.

Le majordome lui fit signe de le suivre. Zéline le suivit donc en observant chaque parcelle du décor en se promettant d'aller faire sa propre petite visite des lieux, un peu plus tard. Elle fut tombé dans ses pensés lorsque le majordome lui indiqua sa chambre. Zéline poussa la porte de sa chambre pour le long de son séjour et fut émerveillé par la grandeur de sa chambre. Dans sa chambre, il y avait un énorme lit dans le lieux de la pièce. On y retrouvait aussi une commode, un meuble avec un très grand miroir et une grande bibliothèque. Il y avait aussi un coin avec un grand bureau de travail. Zéline savait déjà qu'elle allait adoré cette endroit. Elle se dirigea vers le lit et commença à défaire sa valise.

Quelques minutes plus tard, Zéline observa la chambre avec un beau sourire. Effectivement, elle allait adorer cette endroit, mais elle se rendit compte qu'elle n'avait pas encore visité toute les pièces du château. Elle sortit donc de sa chambre et se dirigea vers la gauche. Elle s'arrêta ensuite devant une énorme statue qu'elle trouvait très belle.

- Jolie la statue n'esce pas? Elle vient des civilisations mayas, je me demande comment ils ont fait pour l'apporter jusqu'ici. Mais j'imagine que les mayas en ont plus de besoin!

Zabrack se tenait à côté de Zélines et se mit à rire mais il arrêta rapidement. Il se tourna vers celle-ci et s'inclina:
- Rebonjours Mademoiselle-la-borné, je vous est fait peur tantôt? Bouh ! Et bien me revoilà, difficile infiltrer le district de l'infiltration...difficile... hahahahahaha!

Zabrack s'avança en direction de la statue et d'un bond il sauta gracieusement sur sa tête. Il s'accroupit pour s'adresser à Zélines:
- Alors , le voyage était bien miss L?

Son sourrire éternel était toujours présent sur ses lèvres, semblant se moquer de Zélines

Lorsque Zéline remarqua enfin la présence de Zabrack, elle se mit à soupirer. Il fallait évidemment qu'il vienne gâcher la petite visite qu'elle avait commencé. La petite visite qu'elle appréciait avant qu'il apparaisse. Elle le regarda sauter sur la statue, sans dire un mot. Elle réfléchissait déjà à la façon de se débarrasser de lui. Elle allait bientôt commencer sa préparation pour l'infiltration dans le district Nazi et elle ne voulait pas l'avoir dans les pattes. À vrai dire, elle ne voulait pas l'avoir dans les pattes, peut importe l'endroit ou le moment. Zabrack l'énervait énormément. Elle soupira encore une fois lorsque celui-ci lui demanda si elle avait passé un bon voyage.

- Vous l'avez bien gâcher mon voyage. Partez d'ici. Et je le demande gentillement... et ça risque d'être la dernière fois que je vous reparle aussi gentillement si vous ne quitter pas immédiatement le château.

Elle le regarda un peu découragé, pour ensuite ce diriger vers la droite, où elle décida de continuer sa visite du château... sans Zabrack. Cependant, elle savait très bien qu'elle n'était pas débarrassé de lui pour longtemps. Il allait certainement là suivre encore très, très longtemps.

Zéline continua alors sa visite. Ella marcha dans les longs couloirs ornés de décorations riches et arriva à une intersection. Elle avait la possibilité de tourner à gauche ou à droite, elle ne pas trop le temps de réfléchir et Quand elle décida de tourner à gauche, elle tourna le coin et Zabrack était la , accoté contre le mur:
- Quitter ? Quitter le chateau ? Alors que c'était aussi facile de l'infiltrer? Je pourrais en fair ma maison... mmh il manque pas de chambre et personne me remarquerais hahaha

Zabrack disparu et réapparu sur le mur opposé, toujours accoté. Il avait toujours ce sourrir, le sourrir moqueur qui faisait tant rager Zélines:
- Et puis que tu me parle gentillement ou pas, ça change quoi? Tant que le message est transmis adéquatement c'est déja bien tu ne trouves pas? Aaah.. les femmes les femmes.

Il se remit à rire, on dirait presque qu'il riait de bon coeur sans vouloir rire de Zélines.
Il était vraiment fous.

Découragée, Zéline continua sa visite malgré la présence de Zabrack, qui riait encore de bon coeur. Elle marcha vers le fond du couloir, en ignorant Zabrack du mieux qu'elle pouvait, mais elle savait qu'il continuer à la suivre. Après quelques minutes de marcher à regarder les décorations, elle remarqua un couloir qui semblait descendre vers la cave. Elle prit donc cette direction, par curiosité, en ignorant que c'était en fait de long tunnel sous terrain, qui ressemblait beaucoup à un labyrinthe. Elle tourna à gauche, puis à droite et ensuite, encore à gauche. Zéline s'arrêta après quelques minutes pour se retourner. Elle voulait savoir si zabrack était toujours en arrière d'elle. Évidemment, il était encore là, accoté au mur.

- Vous ne pouvez pas me laisser tranquille quelques minutes??


Elle le regarda, complètement découragée. Cela l'énervait énormément d'être suivit sans cesse.

Zabrack la suivait, bien évidemment. Zélines ne se posais même plus la question: C'était une évidence. Zabrack la fixa un moment et disparu d'un coup. Zélines se fit tapper sur l'épaule et c'était Zabrack qui était maintenant à côté d'elle. Il mit un doigt sur le menton à la jeune femme et dit:
- Mais ma jolie, je suis peiné de voir une si belle femme se diriger vers l'abbatoire hahahahaha!

Zabrack recula avant de se fair assomer par zélines. Il fit un signe de ''chut'' et continua:
- Crit pas ma belle, tu le sais très bien pourtant , pourquoi le renie tu? Vais'je devoir rammasser tes cendres sur les plaines nazies? Car c'est tout ce qu'il restera de toi.

Zabrack mima de s'essuyer des larmes qui aurait supposément tombé de ses yeux:
- bouhouhou

Lorsque Zabrack lui mit le doigt sur le menton, Zéline se dégagea assez facilement. Elle ne tolérait pas que quelqu'un la touche sans son consentement, encore moins si il s'agissait de Zabrack. Par chance, Zabrack recula, ce qui était une très bonne décision de sa pars. Elle s'éloigna encore d'un pas de Zabrack et le regarda, légèrement en colère. Lorsqu'elle alla prendre la parole, Zabrack lui fit signe de garder le silence, ce qui l'a fâcha encore plus.

- Croyez-vous sérieusement que je vais vous écouter ? Vous me faites pas peur !

Elle le regarda, toujours en colère, mais cette fois, il y avait un certain désir de défi dans ses yeux. Elle souhaitait montrer ce dont elle était capable et c'est ce qu'elle allait faire.

Zabrack examina la femme qu'il avait devant lui pendant un moment: il se demandait sil elle croyait pouvoir être de taille face à lui. APrès son observation il repliqua :
- Ce n'Est pas par peur que nous obéissons jeune dame, c'est par choix ou par obligation... c'est seulement un choix que je vous donne. Et il y a une raison pour moi aussi de vous donner cette mission donc vous n'auriez pas à avoir peur de moi puisque en un sens j'ai besoin de vous .

Il rit, comme à son habitude:
- Je vous est perdu madame L? haha

Elle le regarda, tout en reculant d'un pas. Elle ne savait plus trop quoi penser de lui, mais cela ne l'empêchait pas de vouloir lui garder tête. Elle écouta ce qu'il avait à dire, toujours un peu en colère. Lorsqu'il eut finit de parler, elle répondit à sa question :

- Non, vous ne m'avez pas perdu, comme vous dites. Mais je n'ai aucune raison pour avoir confiance en vous. Vous dite que vous me donnez une mission et qu'il y a une bonne raison pour cela. Donc, expliquez moi pourquoi vous avez besoin de moi!

Elle continua a le regarder, en attendant une réponse.