Apres l'invasion

De la fumée, de la cendre, des gravats et des ruines. Le furher marchait dans la Berlin dévastée par une invasion massive de corrompus. Le premier mur était tombé, le second avait tenu. La vallée de Berlin était infestée des ces atrocités, la ville était isolée. les portes de la vallée n'étaient plus. La situation était précaire. Les civils étaient confinés dans les 3 secteurs intérieurs, le quatrième était occupé pas l'armée, dernière défense entre les hordes d'infectés et le peuple du 4ème reich. Il fallait nettoyer la vallée, il fait liberer son peuple, Himmler le savait. Mais comment détruire ces atrocités sans anihiler le alentours? Voila l'ampleur du problème que le fuhrer devait résoudre! Aucune arme de destruction massive ne pourrait atteindre ce taux d'efficacité/propreté. Il se tourna vers Sael, son nouveau garde du corp, récemment promu numéro 2 de la gestapo.

-Une idée?

(tu arrangera tes stats quand tu pourra ^^ , pasque 6 pdv pour un héro ish XD)

Il fallait prendre le temps d'observer pour constater la grandeure des dégats. La ville avait tenu mais le premier mur avait tombé : ce qui était une première pour le district nazi. Les soldats infestait la place et tous le monde semblait stressé ce qui était normal avec cette horde en dehors de nos défences. Je pris le temps d'aller donner quelques ordres aux escouades présentes sur ce bord si du mur. Des ordres simples de lieu de patrouille: Mais je trouvais mon travail important, si les lieux sont surveillés il sera facile de prévoir leurs mouvements et évitera des attaques surprises ainsi.
Je me dirigea par la suite vers himmler qui observait la scène. Il me lança une phrase toute simple:
- Une idée?

À part prendre des précautions par rapport à la défence je n'avais pas encore vraiment songé à ça car notre situation actuelle de mon point de vue ne permettrais pas une offensive. Je pris donc un moment pour répondre, pensant à une solution quelquonc, possible avec les effectifs présent:
- Mon furher, la zone gardé est sécurisé . Mais vous avez dû le constater , la situation est instable: Garder la defence en esperant qu'ils s'en iront ne serait pas très intelligent... donc peut-être organiser des battu. En petit nombre, les corrompus ne seront pas un obstacle pour nous.

Je réfléchis encore et en vint à une autre solution:
- Sinon vous pourriez envoyer moi et un escouade fair le ménage. Ça serait plus long et plus risqué mais la sécurité de la ville en souffrirais pas.

(Scuse men si ktai po repondu avant... longue histoire...)

Le furher regarda les hordes de corrompus au pied de la muraille. Ils étaient des dizaines. Il lui faudrait la majeure partie des survivants de ses troupes. Mais il ne pouvait dégarnir le ville de ses troupes dans risquer que les corrompus s'y infiltrent. Il ne restait donc que lui et les quelque membres présents de la gestapo. En tout, cela ne totalisait pas plus d'une cinquantaine d'hommes. C'était bien mince, mais il ne pouvait prendre le risque de laisser les civils sans défense. Il se tourna vers sael, et lui dit d'une voix calme:

-Scinde le restant de tes forces en 3 groupes. L'un garderas la brèche, et toi et moi prendrons la tête des deux autres pour éliminer la menace. Contact radio ouvert, mais seulement si urgent. Retour dans 3 heures pour le compte rendu, ou si les pertes monte a 25%.

Tout en donnant ses ordres, Himmler revérifia son équipement. Il ne lui restait qu'une dizaine de balles ancre, ces fameuses balles de son invention qui brouillait les signaux du cerveaux vers les membres des victimes, particulièrement utiles contres les signaux primaires et simples des atrocités qui en serait les cibles. Ses étuis pour ses couteaux de lancés explosif étaient presque tous vides, il ne lui en restait que 6. Il détacha les vides, qui ne feraient que le gêner dans le dure combat qui s'en suivrait. Il ne lui restait que 12 balles normales. Quand toutes ses munitions seraient dépensées, ils ne lui resteraient plus que son couteau de combat en acier trempé. Mais un ravitaillement prendrait trop de temps, denrée qu'il ne possédait qu'en quantité limitée. Si les infectés parvenaient à se regrouper,
il ne donnait pas cher de leurs peau.

Se relevant, il ordonna à ses troupes:
-GARDE A VOUS! Monsieur Pyronanen, sommes nous prêts?

(pas de problème)

-Scinde le restant de tes forces en 3 groupes. L'un garderas la brèche, et toi et moi prendrons la tête des deux autres pour éliminer la menace. Contact radio ouvert, mais seulement si urgent. Retour dans 3 heures pour le compte rendu, ou si les pertes monte a 25%.

mon furher semblait apprécier mon idée après tout. Mais j'en avais marre de réfléchir autant... je me retournai et montai marches de la muraille une à une sans presse. Une fois sur la muraille surelevé je me mis sur le bord de celle-ci et leva mon bras dans les airs: Mon bras commença à flamber. Je restai ainsi jusqu'a temps que les soldats de ma section de la gestapo se retournes et m'apperçoivent. Ils avertirent les autres et vinrent me rejoindre. Les 10 soldats d'élites arrivèrent en rang et firent le salut nazi. Je me retournai exaspéré, mais tout de même content que mon truc aille marché. Je commençai à leur expliquer le pourquoi je les avaient appelés:
- Bon et bien vous voilà, à l'avenir si vous voyez que je fais du feu à un endroit aussi évident ça signifie rassemblement. Je suis content que ça l'aille marché pour cette fois sans préavis. Bon bin.. je vous est rassemblés ici car nous avons une mission en rapport avec cette attaque. La gestapo complette va se séparer en trois escouades et ... bah une va défendre la brèche pendant que deux escouades feront le ménage des quelques centaines de corrompus qu'il reste. Compris? On va voir le furher maintenant, en rang.

J'avais beau être second de la gestapo, mon leadership n'étais pas très remarquable à part lorsque je suis faché ou sur le champ de bataille. Mais Heinrich m'a dit que c'était ce qui était le plus important. je pris alors le devant de mes hommes en rang, après tout, ils semblaient me respecter: Je ne savais pas si c'était par crainte de ma force ou par respect mais ça m'importais peu , ces hommes étaient la pour me soutenir ce n'était pas mes amis ni mes ennemis mais des coéquipiers.
Nous arrivâmes devant mon furher et je fis mon salut militaire en même temps que le reste de ma gestapo. Je me mis par la suite devant himmler qui me demanda si j'étais prêt:
- Oui je suis prêt, mon furher. Je les aient ''briefé'' sur la mission que nous allons entreprendre, mais vous savez que j'ai de la misère avec les détails , mon furher.

J'inclinai légèrement ma tête puis me plaça à ses côtés devant la gestapo en Rang militaire