Exil

Rey s'appuya sur le mur, près de la porte. Son sabre était déployé, alors que sa lame secrète l'était autant dans l'autre main. Rey tandis la main vers la poignée et tourna lentement. Il pris ne inspiration et pénétra rapidement dans lla dernière pièce. Celle-ci était vide, comme toutes les autres. Il s'en doutait : Il n'avait entendu aucun battement de coeur lorsqu'il était pénétré dans cette vieille maison délâbrée. Il jeta un coup d'oeil au lit.

**Ça devrait faire l'affaire.

Il rétracta son sabre et redescendit l'escalier et dirigea vers l'entrée de la maison. Il regarda à l'extérieur. Les rues étaient présentement désertes, mais il entendait les bruits battements de gens qui approchaient. Aussi ferma t'il la porte d'entrée presentement la porte avant de se rendre à la fenêtr, regardant seulement par le coin. La patrouille passa.Cette ville semblait sur le qui-vive. Et d'ailleurs beaucoups de corompus l'entouraient. Ce serait un bon endroit pour disparaître, le temps de trouver quoi faire.

Il avait du quitter le district neuf, fuyant cet ombrageux. Celui qui avait tué son maître. Il se devait de le vengé, il avait été formé pour ça. Mais sans connaître son ennemi, il ne pouvait rien faire.

La patrouille finit par passer. Il se releva et sortit à l'extérieur. Il ferma la porte avant de partir en direction du centre de ce qui restait de Madrid.

Les patrouille restante était plutot des patrouille d'espionnage, ils analisais ce qui restait de cette pauvre ville. dès que des corrompus se pointais ils fuyaient. Madrid n'était plus ce qu'elle était; délabré, sale et sans vie. Alors qu'elle fut autrefois la capitale de l'espagne. Rey arriva vers ce qu'on pouvait apeler le *centre de madrid* plusieur patrouille de ravitallement pour celles d'espionnage i logeais. Les corrompus semblais pas porter attention; peut etre prévoyaient-ils une auters attaques? fort possible.

Cela semblait très intéressant. Il lui faudrait des vivres pour vivre. Aussi Rey s'approcha t'il lentement des troupes de ravitaillement, se camouflant pour ne pas se faire percevoir. Attandant le bon moment pour parcourir la distance à découvert qui le séparait des camions.

Rey n'u aucun probleme du a lentrainement de son chef. Plusieurs gardes entouraient les camions, mais des provisons étaient facilement atteingnables

Lorsque ce fut le moment propice, Rey s'élançant, furtif comme une ombre, fidel à son entrainement. Il atteignit aisément les provisions et s'accroupis près d'elles. Il se procura des choses aisément transportable et non-périssable, en particulier des conserves.

**Pourquoi les militaires n'ont jamais de chips comme tout le monde?

Soudain, il porta son regard vers un autre chargement, celui-ci transportant un revitaillement d'un autre genre : Des armes.

**Ça peut toujours servir.

Il foura le tout dans un petit sac de toile et vérifia encore les alentours, avant de s'élancer vers les caisses d'armement.

Le ravitaillement d'arme était , contrairement a l,autre, lourdement garder. Plusieurs gardes avec l'équipement militaire d'élite l'entourait.

Rey en remarqua un en particulier: un homme en armure total, et dess fusils de haute technologie. L'armure semblais le rendre lent a déplacer, mais très difficile a toucher

Rey sourit. Ces armures étaient confectionnées pour empêcher les balles de pénétrer. Les lames secrètes pourraient bien être efficaces contre cet ennemi. Néamoins, s'attaquer à ce chargement était trop risqué. Il devrait avoir un plan.

Il s'éloigna du centre de Madrid pour y cacher les provisions, puis revint. L'avantage qu'il avait est que ces soldats ne s'attendaient pas à tomber sur autre chose que des corompus, soit des créatures ayant aucune subtilité. Pour cette raison, ils seraient moins alertes. Néamoins, Rey empoigna son sabre qu'il laissa rétracté, puis contourna le centre pour se mettre sur le front où il y avait le moins d'ennemis. Puis débuta la longue attente. La patience était de mise pour un assassin ,ce qu'il lui avait été le plus enseigné chez les assassins. Lorsque enfin il trouva un moment où il ne serait pas vu, il s'élança. Si le soldat le voyait, ce qui risquait fort bien d'arriver, il poursuivait sa route pour l'assassiner en silence, puis l'entraînerait pour le cacher à l'intérieur avec le chargement.

Rey traversa facilement le tout; ses mouvement était moins qu'une feuille tombant d'un arbre. Il traversa l'amas de gardes sans aucun problme et entra dans la cargaison d'arme.
Il y avait de tout, des fusil, des lames et meme des explosifs

Il fouilla les caisses, cherchant en particulier des grenades et des fumigènes.

ce quil trouva en quantité industrielle. malheureusement il pouvait suelement ne porter 10 de chaque sur lui

Ce serais suffisant. Il les foura dans un sac avant de se préparer à retourne vers sa nouvelle planque. C'est refermant son sac qu'une nouvelle idée lui vint. S'il voulait retrouver ce Zabrack, il ne pourrait resté caché. Mais il ignorait où aller. Lorsqu'il était venu à Madrid, il croyait bien y trouver quelque chose de vivant. De toute évidence, il était arrivé trop tard. Mais ces militaires pourraient bien l'entraîner vers la civilisation. C'est en tout cas ce qu'il espérait. Rey s'approcha d'un de camions. Il ouvrit la portière et entraîna le chauffeur à l'extérieur, plaçant son sabre sous son cou.

-C'est quoi ça? Où se trouvent les gens.

Posant ses questions en se positionnant entre le camion et l'homme, pour se protégé des armes.

-Où ce trouvent les gens? Parles!

Le militaire fut terrifié et tenta de se relacher, sans succès. Les autre ssoldats pointèrent leur arme sur rey.:
- Je ... ils sont morrt merde !! la vilel est détruit ! a cause des gens comme toi !

Rey resta positionné de façon à avoir le militaire entre lui et les autres. Il se mit à hurler.

-Où y sont? Où les gens sont allé. Où reste-il des gens vivants?

Il rit, d'un rire sadique et démentiel.

-Des gens comme moi? Les gens commes moi ne déciment pas une ville. Les gens comme moi sont ici pour réparer les erreurs des autres.

Il pensait évidement à l'indicent de l'immortel, à la tâche des assassins du distric 11.

- partez merde ! Laissez nous tranquil !

Rey commençait à perdre patience. Devrait'il en tuer pur que ces soldats lui donnent une information des plus facile. Il commença à enfoncer sa lame dans le cou de sa pauvre victime, et le liquide vital s'en écoula légèrement.

-C'est pas compliquer? Où reste-il des survivants! Et merde!

D'une main, il empoigna une fumigène qu'il lança au sol. Aussitôt il entraîna le militaire hords du centre du village. Passant dans les ruelles, se serant de la couverture de la fumée. Il écouta les battements de coeur, s'arrangea pour être à l'écart de toute autre forme de vie. Finalement, il entra dans un bâtiment avec sa victime. Il la jeta dans un coin et plaça sa lame près de sa gorge.

-Parles!

La victime était beaucoup sur le choque pour le repondre et elle regardais rey d'un air apeuré. Cela pris un moment avant qu'il se reprenne:
- Tout le monde est partis...ou mort. Le district implaccable envoie des renforts pour empêcher les corrompus de madrid de se rendre en territoire francais...

Après un ecourte pause il cria:
- VENEZ M'AIDER QUELQUUN!! UN ASSASSIN!!!

Rey sourit.

-Bin voilà, c'était facile. Je vais te laisser la vie sauve, mais n'oublie pas que tu m'as coûté une fumigène.

À l'intérieur d'une maison, il doutait que les autres militaires l'entendent hurler, mais il préférait ne pas prendre de chances. Il frappa le militaire au visage, histoire de le sonner le temps qu,il fuyait, puis partit d'une vitesse fulgurante.

Rey courrait déjà dans la vile, s'éloignant de plus en plus vite des militaires.

**Le territoire Français, avait-il dit. Direction Paris.

(chsé pas quoi dire xD)

Rey passa par sa maison improvisé, il pris ses affauires et partis (fais un poste a paris)

Ok c'est correct. Désolé dans le fond c'est de ma faute^^

pas grave ^^

ton poste a paris est faite